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5 janvier 2013 6 05 /01 /janvier /2013 14:28

Le monde contemporain à l’image de périodes historiques souffre d’une tare : l’intellectualisme. Cette perversité pavlovienne fait en sorte que la gnose, l’exégèse, la compilation soient, demeurent, les références absolues de ce qui est donné comme étant la référence de l’efficience, de la performance et du savoir.

L’intellectualisme est le mode de recrutement qui ignore les capacités réelles et par lâcheté ne reconnait que ce qui sort des cursus honorum en refusant d’admettre que des imposteurs, maitres dans l’art du gargarisme et des paroles vides d’efficacité, sont devenus la norme avec laquelle, au minimum, en France nous devons tenter de survivre.

L’intellectualisme est l’imposture de l’éducation dite nationale qui donne l’illusion d’instruire tous les enfants de la même manière alors que la fumisterie de la didactique est employée sans même être capable de produire des démarches pédagogiques efficientes et moins encore de lire le comportement des élèves.

L’intellectualisme est la tare démontrée par l’instauration de commissions, de hautes commissions à l’égalité des femmes, ou pour le droit à ouvrir sa bouche et à la fermer, afin de servir les cercles, les réseaux et les clientèles en faisant en sorte que tous les copains obtiennent, sur le dos de finances publiques un emploi temporaires, alors que leurs propos ne font pas avancer d’un centimètre la nation.

L’intellectualisme est la posture de Peillon qui n’a pas le courage de sortir des cercles d’influence pour aller chercher ceux qui sont en mesure de secouer les impostures. Il est aussi l’absence de pyramide réelle dans la fonction publique. Il est bien sur l’illusion des concours de recrutement pour lesquels des questions devraient être posées.

L’intellectualisme est cette posture des médias qui sont dans l’incapacité de mettre sur le devant de la scène autre chose que ce qui satisfait leurs mouvances, leur ego, et leur conception idéologique et dogmatique de leur prétendue information. Il est aussi l’incapacité à admettre une réalité qui ne provient pas des cercles, des réseaux et des clientèles. Il est l’intolérance portée contre tous les écrits qui démontrent que les infaillibles sont des nuisibles et qu’ils œuvrent exclusivement à la préservation de leurs privilèges.

L’intellectualisme est cette triste réalité dans les universités française où pour parvenir à exister il est impératif d’appartenir aux cercles, réseaux et clientèles, sous peine de ne jamais pouvoir publier des ouvrages de nature scientifique ou tout au moins des essais porteurs de scientificité qui démontrent l’incurie, l’inertie et la dégénérescence d’un système qui refuse de se réformer.

L’intellectualisme est le gargarisme prôné par les pavloviens pour lesquels il est impératif de réciter des citations et faire actes de mémoire tout en étant incapable d’analyser, de comprendre et d’expliquer la réalité car elle ne rentre pas dans les cases de la médiocratie instaurée comme référence ultime de la reproduction sociétale.

L’intellectualisme est de vouloir faire apprendre un lange à l’école primaire alors que les enfants ne sont pas capables d’écrire une phrase sans faire de fautes. Il est de vouloir tout faire en même temps à l’école alors que les enseignants sont incapables de faire de la pédagogie de base, de la pédagogie différenciée et évolutive. L’intellectualisme est l’imposture didacticienne que l’on retrouve dans tous les domaines prétendument scientifiques au sein des sciences dites humaines.

L’intellectualisme est l’attitude prônée par les politiques pour lesquels seule la normalité est valable et pour laquelle toute personne ne provenant pas de la normalité de la norme normalisante ne peut pas obtenir ce que les pavloviens sont gratifiés par reproduction d’un intellectualisme à courte vue sans autres perspectives que la préservation des privilèges.

L’intellectualisme et sa perversité ont été démontrés par Sokal que les lecteurs en diagonale de Popper ignore tout autant que le plus important de cet auteur au même que les propositions de Stenger ou Chalmers pour lesquels il est vital que la diversité de lecture du monde puisse être publiée afin d’enrichir nos regards et nos connaissances sur le monde des faits.

L’intellectualisme ne peut pas tolérer une telle option car elle n’est pas inculquée dans les universités. Les professeurs en fin de vie s’orientent dans cette direction une fois leur carrière terminée car là il n’est plus besoin de satisfaire.

L’intellectualisme est donc une lâcheté. Allons-nous accepter encore longtemps de vivre dans ces miasmes ? Les médias et les politiques vont-ils avoir le courage de s’extraire de l’intellectualisme ?

NON, car pour cela il faudrait admettre qu’ils se sont fourvoyés. L’intellectualisme ne tolère pas l’erreur puisqu’il n’y a que lui qui a raison en fonction de ses choix et dogmes restrictifs. Lamentable.

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 09:20

Une jeune étudiante violée apparait comme étant une normalité pour les violeurs et pour ceux qui ne comprennent pas que toute une population manifeste contre de tels abus, contre un tel mépris, contre une société pour laquelle la femme n’est qu’un objet qui doit se soumettre.

Cet état d’esprit est présent sous des formes différentes dans les pays occidentaux. Les femmes doivent se soumettre aux obligations du patriarcat et se plier au joug des normalités de soumission de nature sexuelle qui se pratiquent dans de trop nombreux lieux. Il est vrai que les femmes sont de plus en plus présentes dans les postes de référence et tiennent un rôle de plus en plus important dans les décisions.

Toutefois, chaque médaille aillant son revers, il est à noter que celles qui sont montées à la force du poignet sont plus exclusives que ce que le sont les hommes. Des femmes qui liront ces lignes diront : « encore un phallocrate doublé d’un misogyne ». Il n’en est rien. Mais observons et dressons un constat. Ces dames usent et abusent du pouvoir qu’elles ont conquis, qu’elles ont capté, qu’elles se sont appropriées, avec les mêmes perversions que ce que les hommes le font et le feront encore.

La femme dans ses comportements n’est pas pire que l’homme. Etant son égal, elle fait comme lui, elle reproduit des modèles comportementaux teintés de féminisme, elle est tout aussi fermé à l’équité que l’homme tout en affirmant la pratiquer. Tout ceci pour en venir aux violences aux multiples facettes, aux glissements, aux aberrations, aux impostures qui sont autant de violences faites aux femmes, et aussi aux hommes.

Les violences faites aux femmes sont si prégnantes que l’on oublierait presque qu’elles sont là. Que ce soit par l’incapacité des politiques à légaliser la prostitution, à définir la pornographie comme étant de la prostitution. Que ce soit par le sectarisme trop présent dans de nombreux lieux. Ou pire et plus destructeur pour le devenir d’une société dite éthique : par la pratique de la discrimination positive en faisant que des corps de métier sont si féminisé que l’on refuse de se poser les bonnes questions quant aux errances que nous vivons en ce moment.

Et oui, il y a de la violence sournoise car l’on doit faire en sorte que l’égalité soit réelle mais sans pour cela que la discrimination positive devienne un fléau. Hélas, tant les hommes que les femmes n’ont pas été formés par les infaillibles pour agir, gérer et se projeter, non pas en tant qu’être sexué, mais en tant que décideur qui occulte son appartenance. Nous avons des personnes qui agissent en fonction de leur sexe et non selon l’intérêt du devenir de l’institution.

Là, une violence extrême est produite. Elle gangrène la nation. Elle désagrège les tissus sociétaux. Sous la couverture de l’illusionnisme de l’égalité homme et femme les décideurs féminise des postes et se voilent la face quant aux réalités auxquelles un coup d’éponge est donné pour éviter la prise de décisions et l’instauration de décisions qui nous permettraient de construire le monde de demain dans de meilleures conditions.

Légalisation de la prostitution, formation de trois ans pour les apprentis pour lesquels la troisième année serait une année d’emploi chez leur patron de stage afin d’obliger les entreprises à former correctement les apprentis, avoir le courage de mettre en place les acteurs nécessaires pour agir et non de belles écritures qui se délitent au bout de quelques années.

En une page aborder ces domaines n’est que mettre de l’huile sur le feu des violences faites aux femmes. Néanmoins, reconnaitre que nous avons des progrès à faire pour parvenir à mettre en place une société plus harmonieuse, moins sexuée, ouvre un débat attrayant pour lequel l’infaillibilité, la suffisance et l’intellectualisme n’ont pas leur place, afin que cesse la pratique de la discrimination positive beaucoup trop pratiquée en France et que nous parvenions à dépasser ces formes de violences rampantes si néfastes au devenir de la nation.

Il reste énormément à entreprendre. Je doute que François lise un ouvrage qui devrait paraitre, de Yannick Brun-Picard, sur le thème des formes de l’interface humanité/espaces terrestres qui permet une lecture ouverte, non sectaire et évolutive des potentialités insoupçonnées des femmes, ainsi que de percevoir les formes de violences institutionnelles, sectaires, sexuelles et intellectuelles, pour le moins.

Reconnaitre que nous nous engageons dans une direction pour laquelle les risques sociétaux sont conséquents simplement parce que des infaillibles portent des idéologies sans se soucier d’après-demain n’est pas contre les femmes bien au contraire. Percevoir des dysfonctionnements, des violences faites aux femmes et des errances sociétales est impératif pour éviter que des violences plus grandes ne trouvent des justifications comme celles du viol collectif.

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24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 15:13

Faire un liste au Père Noël quelques heures avant son passage n’est pas anodin. En effet, c’est l’espoir qu’il existe et qu’il fera en sorte de donner un peu plus d’espoir à ceux qui se font saigner par l’incompétence, la suffisance et l’infaillibilité.

Doux utopiste ! Tu peux rêver tout ce que tu veux tant que tu n’appartiens pas aux cercles, aux réseaux et aux clientèles seuls l’air que tu respires ne sera pas taxée, bien que cela soit prévu afin de renflouer les caisses d’un Etat qui part en déliquescence complète et donne l’illusion de capacités…

Cher Père Noël je souhaite avoir au pied du sapin pour ce soir :

La fin immédiate de tout cumul de mandat électif.

L’éradication de l’ENA et du CNU pour le moins.

La fin des avantages en nature pour les dits hauts fonctionnaires.

La fin des loyers payés par les hôpitaux pour de trop nombreux directeurs.

La fin des modes de recrutements dans les armées qui sont obsolètes.

Que le gouvernement ait le courage de servir les citoyens.

Que tout responsable d’accident soit lourdement sanctionné.

La tolérance zéro pour l’alcool au volant.

La légalisation de la prostitution et la reconnaissance que la pornographie est de la prostitution.

Sanction planché pour tous les fonctionnaires qui ne font pas leur boulot et ne servent pas les citoyens en ne servant que leur carrière et leur ego.

Instauration immédiate d’une réelle pyramide dans la fonction publique en imposant exclusivement les recrutements internes.

La modification immédiate des recrutements des enseignants en créant des cursus de formation post-bac pour avoir des pédagogues et non des ventilateurs didacticiens.

L’instauration d’une limite d’âge inférieure de 40 ans pour pouvoir être élu député ou sénateur.

L’instauration d’une limite d’âge supérieure de 65 ans pour pouvoir être élu député ou sénateur.

La gestion de la répartition territoriale des médecins au même titre que les pharmacies.

Des systèmes d’évaluation des élèves sur les modèles américains afin de déterminer des niveaux réels et non l’imposture actuelle.

L’instauration d’une gestion territoriale des moyens avec équité pour tous les acteurs territoriaux.

L’amélioration des services de transports publics en expliquant aux imposteurs des ministères que dans certains lieux pour faire 20km il faut largement plus d’une demi-heure.

Que le Président de la République ait le courage d’accepter ce qui n’est pas dans la norme normalisante de la normalité.

Que les journalistes cessent de prendre les citoyens pour des jambons.

Que les politiques cessent de prendre les citoyens pour des dégénérés.

Que les responsables de l’éducation dite nationale regardent leurs échecs et qu’ils corrigent des programmes débiles dans les plus brefs délais.

Que dans le Var les illusionnistes cessent de vouloir faire faire une ligne à grande vitesse.

Que l’Etat recrute des contractuels pour botter le cul aux imposteurs qui bétonnent la France sans se soucier de l’évacuation des eaux.

Que l’Etat ait suffisamment de courage pour que ceux qui mettent en exergue les dysfonctionnements sociétaux invisibles aux yeux des idéologues puissent être reconnus et valorisés.

Que Peillon prenne conscience des impostures idéologiques dans lesquelles il roule le système éducatif comme ses prédécesseurs et ait, lui aussi, le courage de s’extraire de la normalité.

En un mot : que le changement soit réellement maintenant !

Et oui c’est Noël, nous avons tous nos petits espoirs, ces souhaits que l’on voudrait voir se réaliser afin que la France tourne une peu plus rond et que les citoyens ceux qui sont écrasés par les infaillibles puissent vivre un peu plus dignement…

Hélas, cette part de rêve ne semble pas partagée par ceux qui ont pour devoir d’élever nos consciences et de faire en sorte que chaque citoyen perçoive, soit informé et puisse lutter contre les spoliateurs. Tant que la petite lumière au fond du tunnel brille l’espoir demeure. Qui sait, ils auront peut-être le courage de réaliser ce qui leur coûte le moins, encore faut-il que cela ne fasse pas d’ombre aux clientèles…

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22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 09:09

A partir de l’instant où l’on considère que la prostitution est une violence sexuelle il est nécessaire que les institutionnels aient suffisamment de courage pour agir. Ou alors, on considère que cette violence sexuelle est consentie dans ce cas, là aussi il faut du courage pour légiférer, pour légaliser, la prostitution.

Les prostituées ont des cadres d’exercice des plus variés. Certaines sont dites libres de leurs pratiques sexuelles, elles se vendent, elles proposent leurs corps, dans une camionnette, sur un morceau de trottoir, ou dans une caravane de leur plein grès, ou tout au moins de leur propre initiative. En revanche, d’autres sont soumises à des proxénètes qui les battent, les torturent, ou les menacent pour qu’elles se vendent pour quelques poignées d’euros dans des conditions exécrables. Une pratique intermédiaire qui voit des filles qui n’ont trouvé que cette solution pour vivre, pour survivre, pour préserver leur niveau de vie, devient de plus en plus présente. Ces femmes préfèrent se faire payer pour leurs soumissions sexuelles que de vivre des aventures tout aussi dégradantes.

La violence de la soumission, de cette forme d’esclavagisme est bien présente. Des sociologues, du moins prétendus tels, affirment à grand renfort d’impostures intellectualistes que la prostitution n’existe pas dans les montées d’escaliers des tours de nombreuses cités. Et pourtant, des gamines d’à peine quinze ans effectuent des passes dans ces escaliers, dans les caves voire même dans les appartements vides des parents pour la journée.

Où sont les institutionnels ? Où sont les prétendus sociologues des violences qui devraient alerter, interpeler et haranguer le pouvoir pour mettre un terme à ces déviances sociétales qui font des jeunes filles des objets sexuels ? Nulle part ! Trop contraignant, trop pas dans la mouvance, trop salissant que d’aller voir ce qui se passe réellement, là, dans les miasmes sociétaux.

Pour mettre un terme en partie à ces abus, à ces négations de l’humanité, à ce mépris pour les femmes, à cette instrumentalisation du corps et de l’esprit des filles engluées dans le siphon de la prostitution il est impératif de prendre des décisions, d’avoir le courage de l’égaliser la prostitution. Là se pose un énorme problème car celles qui vendent leur corps pour des services sexuels et qui n’ont que cette activité, deviendraient des travailleuses au même titre que celles qui acceptent ou qui font leur possible pour passer sous le joug sexuel d’un chefaillon et de ce fait pratiquer une forme de prostitution dissimulée.

La France a besoin de réformes institutionnellesmajeures pour lesquelles la légalisation de la prostitution serait le premier pas vers une vie un peu moins esclavagiste que celle subit par nombre de prostituées. Il serait de bon ton, que François et Najat pour le moins prennent leur courage à deux mains et qu’ils œuvrent de concert pour construire un statut de travailleur du sexe. De cette manière les pornographes qui emploient les acteurs du sexe seraient reconnus comme étant des proxénètes puisqu’ils font pratiquer des actes sexuels contre rémunérations, et l’imposture des bien-pensants serait mise à mal.

Il reste énormément à faire pour endiguer les dynamiques de la prostitution. A partir de l’instant où les proxénètes se sentent protégés par une absence de lois, par un laxisme intolérable, par la lâcheté des institutionnels, les prostituées resteront dans cette situation d’entre-deux-mondes si néfaste à leur existence, leur reconnaissance et leur considération.

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 14:35

Vendre son corps pour la pratique d’actes sexuels tarifés est une violence faite à ceux et celles qui se livrent volontairement ou non à l’exercice illégal de la prostitution.

La prostitution est, hélas, encore illégale. Cette lâcheté politicienne, cette incapacité à concevoir après-demain, ce refus de toute responsabilité, continuent à jeter des femmes et des hommes dans les miasmes violents des réseaux de prostitution qui alimentent, par l’argent facilement engrangé par les proxénètes, toutes les formes de délinquances.

Le fait de se vendre pour des pratiques sexuelles, au même titre que la pornographie, est une forme de violence puisque la personne se plie, se soumet à une demande, parfois dégradante, méprisante, d’un individu qui vient assouvir des pulsions qu’il ou qu’elle ne peut mettre en œuvre dans ses relations coutumières.

Violence et prostitutionsont profondément imbriquées. Il est complexe de vouloir séparer ces deux entités. En revanche, si l’on considère que vendre son corps, ses capacités physiques, ses compétences cognitives, est aussi une forme de violence puisque celui qui met à disposition contre rémunération ses capacités doit se plier aux attentes de son employeur, nous pouvons considérer, sans nous fourvoyer que les prostitution peut être aussi un travail reconnu non moins dégradant que l’exécuteur des basses œuvres dans quelques entreprises que ce soit.

La violence alors serait celle de l’instauration immédiate d’une carte professionnelle d’exercice de la prostitution. Celle ou celui qui se vend serait reconnu comme travailleur, payerait des impôts, toucherait une retraire, cotiserait aux diverses exigences sociétales et appartiendrait en totalité aux normes sociétales. Simplement au lieu de vendre son âme, le prostitué ou la prostituée, ne fait que vendre son corps.

La violence à l’encontre de la prostitution est ce dédain, ce mépris, cette distance instaurés par les infaillibles qui cautionnent la pornographie, qui est de la prostitution puisque des actes sexuels sont tarifés, et sont incapables d’admettre que l’on peut vendre son corps au même titre que les imposteurs vendent leur âme, quand ils en ont une, au plus offrant au mépris de l’humanité.

Violence et prostitutionsont indissociables. La prostitution agresse notre conscience. Elle montre aux yeux de tous ce que nous sommes capables de faire subir aux autres simplement parce que l’on possède de l’argent, que l’on est puissant, ou que l’on exerce une forme de coercition sur quelques personnes que l’on met en esclavagisme sexuel.

La violence de la prostitution est indissociable de notre humanité. Nous devons vivre avec. Alors courage ! Que les politiques légalisent la prostitution en contrôlant les réseaux, les travailleurs et travailleuses du sexe. Qu’ils lisent les travaux de Yannick Brun-Picard sur ce thème. Cela ferait entrer énormément d’argent dans les caisses, permettrait d’épurer les réseaux d’esclavagismes sexuels et rendrait de la dignité aux prostituées.

Pour endiguer la violence de la prostitution il est impératif de vouloir agir et de concevoir que ce phénomène sociétal est inséparable de notre nature humaine pour laquelle des filles et des garçons vendent sans contrainte leur corps et leurs orifices afin de préserver un niveau de vie, de pouvoir vivre voire de pouvoir survivre.

La violence de la prostitution met en exergue les impostures intellectualistes des prétendus spécialistes qui dans leur infaillibilité médiocratique ne peuvent pas aller se salir les mains et qui se réfugient en toute lâcheté derrière des concepts philosophiques sans aucun fondement sociétal autre que de la morale bien-pensante de quelques dogmes et idéaux.

La violence de la prostitutiondoit être atténuée. Pour cela les politiques doivent avoir le courage d’agir. Cela ne peut pas se faire dans les structures d’illusionnistes formées dans les boites pavloviennes. Les politiques doivent avoir le courage d’aller chercher ailleurs…

Donc de se faire violence pour parvenir à faire évoluer la France ! Le changement c’est maintenant !

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 08:03

Des intégristes chassent des femmes aux seins nus qui manifestent, des affrontements sanglants sont manipulés par les médias et les politiques en refusant de mettre en évidence les fondements à ces luttes religieuses, et pour le moins l’UMP qui n’est pas capable de savoir qui a été élu.

Le spectacle est affligeant. Tout particulièrement pour l’UMP qui a la prétention, l’outrecuidance et la suffisance d’affirmer qu’elle est intègre, qu’elle œuvre pour la multitude et que ses démarches sont saines, sans tâches de cupidité, de manipulation et de lutte meurtrières pour la satisfaction de l’ego sans se soucier de l’exemple donner à la nation, à la France.

Vous me direz que le spectacle qui fut donné par d’autres mouvances plus tôt est tout aussi affligeant. Là, nous touchons le fond de la cuvette. L’intégrité, l’égalité et la clarté sont loin d’être des valeurs réellement mises en œuvre dans ce parti. Il est vrai qu’il en est de même dans multiples lieux où les acteurs, les institutionnels prétendent à grand renfort de textes et autres règlements qu’ils agissent dans le respect le plus total de l’égalité et de la justice, sachant que pour eux, seul ce qui sert leur obédience est acceptable.

Affligeant de voir que les médias tels des rapaces se jettent sur le non-événement de la séparation d’une journaliste avec un ministre simplement parce qu’il n’y a rien d’autre pour alimenter les miasmes médiatico-communicationnels si néfaste au devenir de la nation et à l’ouverture vers l’efficience, puisque ces médias enferment les citoyens dans une série de télé-journalisme-réalité.

Affligeant de constater que des extrémistes puissent agresser des femmes qui manifestent, il est vrai seins nus pour être sur le devant de la scène et occuper un espace médiatique en constante progression de la sexualisation des images, sans que ces derniers ne soient mis à l’index pour de tels comportements qui nous ramènent aux temps, que certains semblent regretter, de l’inquisition.

Affligeant de voir des médias, des politiques et des prétendus intellectuels soutenir des actes de terrorismes simplement par idéologie en occultant les réalités, les actes et les manipulations simplement parce que servir un dogme, une religion, un extrême est porteur médiatiquement et surtout économiquement du simple fait que les puissances au pouvoir économique financent en toute obscurité les terroristes et les attentats.

Affligeant de constater que l’on va avoir des salles de shoot pour la drogue alors que la consommation n’est pas dépénalisée. Comment peut-on instaurer des lieux pour consommation de drogue sans légiférer sur la légalisation de la possession de drogue ? En effet, constater de telles démarches est des plus affligeants pour les citoyens qui voient la loi contournée par les politiques qui ont le devoir de la mettre en œuvre et de la respecter.

Affligeant de constater que la porte-parole du gouvernement n’a même pas assez de courage pour mettre sur la table des projets sociétaux impératifs la légalisation de la prostitution. Affligeant de voir que dès que l’on rentre dans le dur, dans la décision, dans la responsabilisation, sans échappatoire, sans fuite et sans dissimulation, les institutionnels se délitent, se répandent et s’évaporent.

Affligeant de vérifier chaque jour il suffit d’appartenir à un cercle, un réseau ou une clientèle, pour que les mérites que vous prétendez avoir mis en évidence, qui ne sont que du vent, de l’illusion et de la dissimulation, sont mis en forme, hyper-valorisés, surdimensionnés, élevés au niveau de maréchal d’Empire, pour que les institutions, tout-à-coup fasse de vous une référence, en écrasant tout ce qui n’est pas dans la mouvance, car il faut être dans la norme normalisante de la normalité.

Affligeant au plus haut degré de l’écœurement de voir que la commission sur les violences scolaires n’a fait que prendre les cercles de ceux qui se prétendent spécialistes de la question alors que tout ce qui a été produit depuis des décennies ne répond en rien aux violences scolaires puisqu’ils sont dans l’incapacité d’aller chercher les mécanismes, de regarder ce qui se passe et surtout d’avoir le courage de dire pourquoi nous en sommes là.

Affligeant de voir que nous les citoyens nous sommes tellement manipulés par les systèmes de communication que plus personne n’ose proposer une voix aux marges de la normalité. Affligeant de voir que le pouvoir se satisfait de cette situation. Affligeant de voir que ceux prétendent faire tant pour l’avenir de la nation ne sont pas capables d’œuvrer en toute intégrité au sein de leur parti.

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 10:05

Nous avons des rapports qui inondent les médias, ou du moins dont les médias nous gavent afin de faire croire en toute objectivité médiatique, c’est-à-dire en totale démagogie, que les politiques acceptent d’agir avec courage.

Nous en sommes très loin. En effet avoir du courage pour orienter la France, son devenir, son avenir et surtout le devenir des citoyens, impose, exige, réclame, que les politiques cessent immédiatement la défense de leurs intérêts au détriment de la multitude. Nous sommes très loin du compte !

Avoir le courage de jalonner l’évolutionde la France vers des jours meilleurs impose de mettre un terme immédiat au cumul des mandats. Impose que les ministres, qui sont maires, démissionnent de leur siège de maire. Que les hommes politiques n’est qu’une seule fonction élective et qu’il ne puisse plus y avoir d’association d’intérêt par l’individualisation de pouvoirs locaux.

Avoir le courage de projeter la Francevers l’avenir moins démagogique, moins idéologique, moins clientéliste, impose qu’un âge minimum de 40 ans soit instauré pour l’élection à la députation et de 45 pour les sénateurs. Dans le même temps l’âge maximum d’élection serait de 65 ans afin de mettre un terme immédiat au carriérisme politicien.

Avoir le courage de s’engager avec fermetévers la construction d’une France plus efficace impose qu’aucun ministre, secrétaire d’état, ne soit nommé avant 40ans afin de mettre un terme au cursus honorum qui hélas devient la norme, et surtout pour que les prétendus défenseurs des intérêts publics mettent un peu les mains dedans avant de jouer aux démagogues.

Avoir le courage d’épurer la gestion de la Franceimpose, à François et ses copains, de mettre un terme immédiat aux dites grandes écoles et de faire des recrutements exclusivement internes dans la fonction publique, où seuls les agents qui font le job et non les ventilateurs seraient nommés aux fonctions supérieures. C’est-à-dire que la pyramide : un grade une fonction, serait réelle.

Avoir le courage de gérer la fonction publique impose que les illusionnistes, qui ne font que de la didactique dans l’éducation dite nationale, recrutés par les impostures didacticiennes en soient que des contractuels évalués régulièrement par des évaluateurs en pédagogie afin de limiter la dégénérescence du système éducatif français pour le seul intérêt des cursus à prétendues élites.

Avoir le courage de concevoir la France de demainest, pour François, d’ouvrir les yeux sur tous ceux qui ont été broyés par les clientèles car n’étant pas dans la norme, de prendre en considération la différence, celle qui fait mal aux yeux et qui œuvre aux marges des impostures normalisantes. C’est-à-dire qu’il puisse concevoir que l’excellence existe hors des normes des cursus, des réseaux, des cercles et des clientèles.

Avoir le courage d’engager la France vers l’équité, l’intégrité, l’altruisme et surtout l’abnégation au profit des invisibles, impose à François d’admettre que des réseaux, des cercles et des clientèles se servent sur le dos de la nation et font tout pour endiguer des émergences qui ne proviennent pas de  leurs officines et de leurs obédiences.

Avoir le courage de faire une réformeconstitutionnelle pour la 6ème République impose que les politiques œuvrent pour la France et non pour l’intérêt, la gamelle et les clientèles des partis politiques, des miasmes administratifs et des traditions inertielles qui pour l’heure justifient, légitiment et imposent la reproduction médiocratique des dysfonctionnements vecteurs de l’effondrement de la France.

Avoir le courage d’agir exige que François et ses acteurs de série B, daignent prendre en considération les citoyens dans toutes les diversités et les différences qui font la richesse et l’exception de la France qui refuse, du fait de la lâcheté, de la suffisance et de l’infaillibilité des pseudo-élites, de s’engager vers une France où les réseaux, les cercles et les clientèles n’auraient plus d’influence.

Hé ! Charles tu n’es qu’un utopiste ! Continues à rêver ! Ce changement n’est pas pour maintenant !

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 09:07

Dès lors que l’œuvre est faite, que le client s’est soulagé, à vidé son sac, ce sont des paroles qui peuvent être trouvé dans la bouche du consommateur : « si belle prostituée ». Cela fait très cliché et dépendant aux pratiques sexuelles tarifées, mais, les faits sont là : il y a consommation parce que le client se soulage.

Sans porter de jugement sur la beauté, sur la plastique ou sur toute autre évaluation de l’offre de services sexuels, si l’ouvrière parvient à la finalité de la pratique : soulager de quelques grammes avec un râle, voire plusieurs, une mine satisfaite et un sentiment de plénitude, le client ; tous ceux qui passeront et qui sont passés entre ses mains se réfugieront derrière cette si belle prostituée, qui ne leur servira que quelques instants sans qu’ils portent attention à celle-ci une fois vidés.

Nous sommes dans la satisfaction immédiate, cette fameuse immédiateté dont les médias nous inondent pour satisfaire leur narcissisme, leur cupidité et leur soif de pouvoir. Une fois l’acte consommé, de quelque nature qu’il soit, la si belle prostituée n’existe plus. Pire ! Parfois le client si exigent sur les performances et les obligations de service de la prostituée, une fois soulager, l’ignore, la méprise ou soutient les mouvances anti-prostitution.

Tant que ces dames et ces messieurs soulagent l’humanité souffrante il n’y a pas de problème. Nous avons de « si belles prostituées ». En revanche, lorsqu’il s’agit de prendre en considération ceux et celles qui satisfont vos pulsions sexuelles, vos perversités, vos dépravations ou plus simplement vos absence de relations sexuelles, il n’y a plus personne, et la considération portée à ces serviteurs du sexe ne dure que le temps d’un plaisir ponctuel.

Ainsi, les consommateurs de prostituées veulent que ces dames et ces messieurs soient toujours présents sur les trottoirs, les sites et autres lieux d’esclavagisme sexuel, sans que lorsqu’ils n’en n’ont pas envie ils puissent être visibles. Au claquement de doigt la prostituée devrait apparaitre pour satisfaire un client assoiffé de sexe et juste après elle à l’obligation de disparaitre.

Faisons un grand écart des plus périlleux. La société fonctionne de cette manière. Les prétendus responsables mettent en esclavagisme les travailleurs. Ils les exploitent et les dissimulent pour se valoriser aux yeux des extérieurs afin que seule leur petite personne soit reconnue. Nous sommes dans la satisfaction immédiate, cette fameuse immédiateté si néfaste.

Il y a pire. Ceux qui s’épanchent dans les grandes largeurs, soutiennent les petites mains dans leur partielle reconnaissance, en en faisant des dépendants, au même titre des macros, et ensuite se gavent sur le dos de ses derniers. C’est-à-dire, que cette perversité du souteneur, fait que les esclaves tout justes au smic sont considérés que lorsqu’ils rapportent au proxénète. Faites le parallèle avec ce que nous vivons et vous verrez que nous aussi sommes de si belles prostituées.

Ces quelques mots pour dire que l’on veut bien que des femmes et des hommes vendent leur corps pour des pratiques sexuelles mais que tout ça ne soit visible que lorsque l’on en a besoin et qu’ensuite ils deviennent invisibles. Un monde fabuleux, le meilleur des mondes, nous vivons une exploitation des individus simplement pour de la satisfaction sans lendemain.

La légalisation de la prostitutionrendrait un peu de dignité, des considérations et surtout de reconnaissance à ces hommes et femmes qui, parfois sous la contrainte, soulagent nos besoins sexuels que nous soyons homme ou femme. La carte de pratique de la prostitution épurerait les réseaux et nos « si belles prostituées » auraient un statut réel dans nos sociétés qui ont si vite fait d’oublier ceux et celles qui font le sale boulot.

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3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 08:56

L’argent des prostituées, sa captation, son imposition, son drainage au profit de la nation, seraient des pistes porteuses pour renflouer partiellement les caisses de l’Etat au même titre que la redevance télévisuelle pour toutes les maisons secondaires sur le territoire français.

Des réformes des plus profondes doivent être entreprises afin que la France s’extrait, ou simplement parvienne à nager dans les miasmes de la cupidité d’un capitalisme à courte vue. L’une de ses réformes indispensables à la France est de légaliser le statut de prostituée. Ainsi des fonds conséquents alimenteraient les caisses de l’Etat.

Dans un premier temps faire en sorte que toutes les prostituées soient référencées et fichées. Ensuite, l’attribution d’une carte d’exercice de la prostitution, avec photos, empreintes, données informatiques et tous les renseignements indispensables à un contrôle extrêmement serré, compilés pour des vérifications fréquentes.

Dans un second temps réorienter une partie des agents des impôts afin d’éplucher les dossiers de toutes les personnes liées de près ou de loin à cette activité afin de déterminer les niveaux de vie, les dépenses et les liens avec d’éventuels réseaux. Tout en instaurant les déclarations de revenus, les cotisations sociales et bien-sur les cotisations retraite.

Cela impose que l’Etat légifère sur la gestion de la prostitution puisqu’elle ne peut pas être éradiquée. Ainsi, toute prostituée en situation de tapinage passif ou actif sans sa carte professionnelle de pratique de l’exercice de la prostitution renouvelée tous les deux ans pour contrôler d’éventuelles magouilles, serait emprisonnée pour une année au minimum. Tous proxénètes ou reconnus comme tels ne pouvant justifier la provenance de leurs revenus et la justification de leur niveau de vie trois ans de prison au minimum.

J’entends déjà la justice hurler ainsi que les bien-pensants qui ne voient pas plus loin que leur petit monde. En agissant de la sorte, en chassant réellement le travail au noir dans la prostitution, l’Etat ferait rentrer des sommes conséquentes dans ses caisses et servirait à l’épuration des errances des imposteurs et autres spoliateurs.

Cela impose aussi que les agents chargés du contrôle permanent de la prostitution ne seraient pas affectés pour une durée supérieure à cinq année sur une zone afin d’éviter que la tentation d’en croquer soit trop forte. Cela exige que les illusionnistes qui ne font que blablater en véhiculant des idéologies soient mis devant leurs responsabilités et qu’ils soient sanctionnés réellement pour leurs absences de décisions, leurs incompétences de gestions et leur pavlonisme médiocratique.

Ainsi la police et la gendarmerieavec les polices municipales contrôleraient avec un terminal portable tous les jours les prostituées dans leur zone, en vérifiant l’identité, les empreintes, les suivis médicaux, le règlement des impôts et autres taxes sans omettre la régularité de leur situation. Toute contrevenante serait immédiatement emprisonnée. Seules et seuls ceux qui seraient en règle pourraient exercer l’activité de prostitution.

Les réseaux n’ayant pas accès à la carte, les prostituées occasionnelles sur internet, les étudiantes auraient de tels risques d'emprisonnement pour exercice illégal de la prostitution, redressement fiscal sur cinq années et bien d’autres tracasseries. Mais pour cela il faut des personnes qui possèdent le courage de d’instaurer une telle orientation.

Je doute que François puisse aller dans ce sens, je ne parle même pas de Najat qui n’a fait qu’envoyer des mots pour occuper la scène médiatique et que dire des autres qui ne pensent qu’à servir le même fond médiatique en faisant croire qu’ils sont compétents. Des décisions doivent être prises pour gérer le fléau de la prostitution de l’esclavagisme sexuel et pour faire rentrer des fonds dans les caisses tout en nettoyant les réseaux en France.

N’oublions pas qu’une forme de prostitution est déjà légalisée et qui fait énormément de mal à nos sociétés : la pornographie qui met en scène des comportements pervertis donnés comme normaux où la femme n’est qu’un réceptacle et doit subir les assauts d’un ou plusieurs partenaires avec les sourire et la soumission attendue dans cette prostitution légale. Mais elle sert les intérêts de pourvoyeurs en fesses et gâteries expertes pour nombre d’infaillibles, cela ne peut pas être de la prostitution. Et pourtant ce sont des actes sexuels tarifés qui sont exposés aux yeux de tous. Il faut agir.

Qui aura le courage de le faire ?

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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 11:20

A nouveau le Var, la ville de Toulon cette fois ci, est endeuillé. Deux jeunes sont morts lors des pluies abondantes ce vendredi. Deux morts de trop qui devraient ouvrir les consciences.

Trop d’imposteurs dans les universités dissimulent leur pavlonisme, leurs seules capacités à la gnose et à la compilation, derrière des chiffres et l’absence de responsabilités. Aujourd’hui le décès de deux jeunes vient alerter leur infaillibilité, leur suffisance et leur pavlonisme.

L’ignorance dont font preuve tant les universitaires : géographes, urbanistes ou aménageurs n’a d’égal que l’ignorance des hauts fonctionnaires qui cautionnent les aménagements comme ils sont fait dans ses zones où l’imposture intellectuelle fait que les prétendus spécialistes ne savent même pas ce qu’est une pente d’équilibre et moins encore l’utilité d’une restanque.

Nous en sommes à pleurer la disparition de deux jeunes parce que l’on préfère avoir des pavloviens compilateurs et gloseurs que d’avoir des esprits qui bottent les fesses aux réseaux, aux cercles et aux clientèles. Nous voyons à la moindre pluie un peu violente des torrents dévaler les mouvements de terrains parce que des imposteurs ne sont pas capables de faire appel à la mémoire collective pour prendre en compte les évènements paroxysmiques afin de concevoir des aménagements corrects.

François, et tous les autres se dissimulent derrière ce qui a été fait ce que personne n’a voulu voir, et ce que tout le monde à laisser faire. Le pire est à venir car les pluies seront toujours plus violentes, les surfaces goudronnées et asphaltées toujours plus importantes, la disparition des restanques toujours intensifiée, et le pavlonisme la norme normalisante.

A force de croire que parce que l’on sort de l’ENA ou de toute autre boite à prétendue élite on est forcément une bête de combat nous en arrivons là où nous sommes : au fond du gouffre où ignorance, cupidité, infaillibilité et suffisance sont les source à la légitimité des décisions qui font que les zones habitées deviennent dangereuses à cause des imposteurs qui n’ont pour finalité que de se gaver.

François ! A quel moment des décisions vont-elles être prises pour mettre un terme au recrutement de ventilateurs dans les universités ? A quel moment les responsables d’absence de gestion et de projection vont-ils être éradiqués ? A quel moment les illusionnistes du CNU vont-ils disparaitre ? A quel moment le courage de réformer en profondeur la nation française va-t-il être là ?

JAMAIS, et oui, jamais, le courage de décision forte n’émergera. La démonstration par les faits, une nouvelle fois nous explose au visage. Nous vivons en médiocratie avec des élites qui ne sont capables que de pavlonisme clientéliste. Tout va bien les institutionnels ont encore de belles décennies pour poursuivre la désagrégation de la France.

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