Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 07:28

Des violences viennent d’avoir lieu suite à un contrôle d’identité d’une « femme » entièrement voilée. Cela est la démonstration qu’en France les citoyens ont l’obligation de se plier aux exigences d’une religion qui met sous son joug les femmes.

Mais le mal est plus profond. En effet, laissons la religion de côté ainsi que les croyances quelles qu’elles soient, car ce ne sont que des croyances. En revanche portons une attention à l’évènement : ce débordement de violence, cette occupation de l’espace terrestre public par des personnes qui agissent contre les lois de la République, à cette démonstration d’une territorialisation par la violence.

En 2009 a été publié un articule de Yannick Brun-Picard : La violence source de territoires, il y démontrait comment les violences sous toutes leurs formes étaient employées, instrumentalisées et déployées pour que des territoires soient affirmés, institutionnalisés et surtout conquis par une présence, une doctrine ou un groupe de pression. Les tenants d’une sociologie à courte vue, les géographes doctrinaires de la compilation, de la gnose et de la discussion au même titre que les sociologues ont tancé, raillé et ostracisé cet auteur, vous me direz : il n’appartient pas aux cercles, aux réseaux et aux clientèles d’un bord ou de l’autre.

Ainsi, un donneur d’alerte sur les techniques de territorialisation par la violence sous toutes ses formes a été mis à l’index simplement parce que les institutionnels dans les universités, dans les administrations et dans les ministères ne peuvent pas concevoir qu’ils se sont fourvoyés et qu’ils ne sont pas en mesure, en capacité de lire autrement le monde qu’en fonction de ce qu’ils veulent qu’ils soient et non en fonction de ce que le monde est au regard des réalités.

Aujourd’hui, un ouvrage : Géographie d’interface, démontre à nouveau ces démarches, ces méthodes et ces mécanismes qui conduisent à l’appropriation de l’espace terrestre public par des croyances, des dogmes et des errances qui bafouent la République. Il apparait que l’Etat, l’Intérieur et pire encore les universités ne prêtent pas attention aux développements au sujet des violences et des territoires qu’elles engendrent sous peine d’admettre que Yannick Brun-Picard avait et a raison.

Où sont les médias ? Que font les institutionnels ? Où est la volonté d’endiguer la désagrégation sociétale que nous vivons, dissimulée sous la propagande de dogmes qui font la négation de notre humanité afin de servir des croyances quelles qu’elles soient ?

Nulle part. Alors les médias il est temps de mettre sur le devant de la scène les travaux de ce donneur d’alerte, ça ne va pas plaire aux institutionnels, mais quelle importance ? Il est temps d’avoir le courage de regarder ce qui se déroule en quittant les dogmes et en pratiquant une praxéologie dynamique, il est vrai que cela n’est pas enseigné dans les universités, pour cela il faudrait admettre, à nouveau que Yannick Brun-Picard avait, a raison et que nos sociétés se sont fourvoyées sur l’autel du culte des bien-pensants.

Il est temps d’agir et d’avancer pour que nos territoires sociétaux deviennent plus vivables, que les citoyens soient respectés et que la loi de la France soit le ciment sociétal trop souvent foulée aux pieds parce que des institutionnels préfèrent leur confort intellectualiste plutôt qu’œuvrer pour le devenir de la nation…

Les médias vous avez le devoir d’informer la nation, notre humanité et de porter au plus haut l’équité, l’impartialité et la conscientisation… hélas, il semble que cela n’est qu’un vœu pieu… encore une croyance !

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 07:32

Dans le département du Var, à proximité de Fréjus, St Tropez, St Maxime, en direction de Toulon, il apparait que la prostitution semble être endiguée. Il en est de même aux abords du lac qui a défrayé la chronique au cours de l’été.

Les prostituées se font de plus en plus raressur le bas-côté des routes. Quelques tenaces demeurent à leur emplacement et poursuivre leur pratique, leur activité sexuelle tarifée à proximité des flux de voitures. Il faut dire que les travaux en direction de St Maxime et les aménagements en cours limitent drastiquement les possibilités d’implantations.

Les institutionnels auraient-il lules travaux de Yannick Brun-Picard sur le thème de la prostitution, de ses dynamiques de conquête territoriales dans les interfaces ruralité/urbanité, ainsi que sur les dynamiques d’implantations des activités sexuelles aux marges des centres urbains ? Pour ma part j’en doute, mais les faits sont là : une forme d’endiguement se dessine.

Les prostituées ne peuvent plus s’exposerdans de nombreux points le long des routes principales car des aménagements ont été entrepris. L’entretien de la forêt, l’amélioration des accès aux pistes et autres chemin, le dégagement des aires de stationnement, l’augmentation de la visibilité des accotements, pour le moins, font que les prostituées sont extrêmement visibles, qu’elles n’ont plus de coins discrets pour la pratique des gâteries tarifées. Ainsi leur présence est endiguée, expulsée vers un ailleurs moins visible, moins accessible et beaucoup plus contraignant pour les consommateurs.

Les prostituées dans ces conditionsdéjà proche de l’esclavagisme sexuel pour certaines vont être encore plus dissimulées et soumises au joug des proxénètes et autres réseaux qui exploitent leur potentiel commercial sans vergogne. Elles sont dans une situation de précarité et d’insécurité qui a considérablement augmentée du seul fait de l’impossibilité de pratiquer leur offre aux yeux de tous.

La prostitution est un fléau. Les sociétés contemporaines ont l’obligation d’agir pour gérer cette réalité. La seule option viable est de légaliser la proposition de services sexuels au même titre que ce que la pornographie est sur les étals des libraires et peut être largement diffusée en film. Pornographie qui n’est que de la prostitution dissimulée, puisque ce sont des pratiques sexuelles tarifées qui sont filmées comme des prostituées.

L’endiguement vécu par les prostituéesdans le Var qu’il soit une démarche volontaire ou simplement un concours de circonstances est une orientation louable puisqu’elle éjecte la prostitution hors de la zone proximale de vie des citoyens pour enfermer les prostituées dans des zones discrètes, éloignées et dans une grande insécurité que l’on peut regretter pour les filles.

Maintenant il est temps d’agir que le pouvoir prenne en compte les réalités de la prostitution et qu’il cesse, par son absence de décision, de préserver les réseaux de proxénétisme et autres esclavagistes sexuels à l’image des pornographes. Qu’un statut de travailleur du sexe soit créé et que les prostituées et autres acteurs porno soient titulaires d’une carte professionnelle du sexe pour que l’Etat contrôle les flux financiers et surtout qu’il se donne les moyens de lutter contre les réseaux de trafics sexuels.

L’endiguement ne peut pas suffireà répondre à la prostitution, à ses réalités ainsi qu’à ses maux. Les institutionnels ont le devoir de concevoir la société de demain pour laquelle les prostituées qui vendent leur corps pour des services sexuels auront les mêmes droits que les prostituées, non définies comme telles, qui elles vendent leur âmes pour un avancement, un marché ou un salaire plus important, ou pire qui sont soumises à la tyrannie d’un patron ou d’un petit chef harceleur qui exerce un droit de cuissage des plus pervers.

Le changement c’est maintenant. Un projet de société responsable qui ne sort pas des boites pavloviennes et qui réclame du courage de regarder la réalité en face et non par le prisme des intérêts dogmatiques et des idéologies portées par les réseaux, les cercles et les clientèles. Nous en sommes très loin !...

Partager cet article
Repost0
12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 17:43

Le ministre vient de mettre en place une nouvelle commission d’étude des violences scolaires : c’est une très bonne chose.

Mais et le Mais est de taille !

Est-ce que le seul conférencier qui depuis une décennie démontre, expose et théorise sur le thème des violences scolaires non signalées, c’est-à-dire sur la réalité de ce qui se passe dans les cours de récréation et que les experts prétendent connaître, sera recruté pour y participer et mettre en lumière ce que les illusionnistes ne veulent pas que l’on rendre explicite ?

Pour ma part je doute fermement que Peillon possède suffisamment de courage pour qu’un hors des cursus, hors des réseaux, hors des normes, hors du léchage de bottes, hors des clientèles, puisse être recruté décemment dans ce club de prétendus spécialistes.

Je doute fermement que Yannick Brun-Picard qui depuis une décennie démontre les dynamiques des violences scolaires non signalées intègre un tel organisme où il serait enfin rémunéré à son niveau de qualification. Ce n’est pas politiquement correct de reconnaitre une personne qui jette au visage des spécialistes leurs errances.

Bien-sûr, si Peillon veut réellement agir, s’il veut répondre à ce fléau que les spécialistes ne font qu’effleurer, s’il veut rentrer dans la réalité de l’enfer que vivent nombre d’élèves, il lui faudra le courage d’aller chercher un électron libre pour œuvrer à la recherche de solutions.

Nous verrons si le changement c’est maintenant, ou, si comme d’habitude les spécialistes vont prendre leurs copains, leurs réseaux et leurs cercles pour servir leurs clientèles au détriment de l’avenir de l’éducation dite nationale, de l’Etat et de la France … !

Partager cet article
Repost0
4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 10:36

Dans le département du Var des illusionnistes sont entrain de faire toucher le fond de la cuvette aux citoyens. En effet, des infaillibles de qualité plus que douteuse, mais légitimés par l’élection, ce qui pour les médiocrates justifie toutes les perversités, veulent à tous prix mettre un LGV dans le Var.

Nous y sommes, sous le couvert de leur infaillibilité et de leur suffisance ils prônent l’implantation d’une ligne à grande vitesse en se réfugiant par lâcheté derrière les erreurs faites il y a plus de trente ans pour la gestion des autoroutes, où déjà des incompétences notoires étaient éclatantes mais là aussi légitimées par le statut d’élu.

La LGV dans le Var est une imposture. Il n’y a pas la place de le faire. En revanche, les illusionnistes devraient concevoir un réseau qui sert le département et non les intérêts financiers que quelques cupides et autres narcissiques qui ne voient pas plus loin que la gloriole immédiate. La LGV dans le Var n’est pas viable.

Les infaillibles n’ont même pas la dignité intellectuelle de concevoir des trajets entre Aix-en-Provence, Brignoles, les Arcs-sur-Argens et Fréjus par l’intérieur des terres, sans passer par Toulon. Tu m’étonnes Charles, l’incohérence toulonnaise devrait être reconnue et la gestion destructrice de ce département conscientisée. Ce n’est pas admissible, mieux vaut poursuivre la négation, la dégénérescence et la destruction guidée par la seule cupidité d’une suffisance ignorante.

La LGV dans le Var, son seul projet est la démonstration physique des impostures des intellectualistes et autres planificateurs qui ne peuvent pas lire des cartes et moins encore les réalités du terrain, normal, ils ignorent ce qu’est une interface humanité/espaces terrestres puisqu’ils ne lisent pas les travaux de Yannick Brun-Picard et méprisent la géographie car elle met les illusionnistes devant la réalité du terrain.

La LGV n’est viable que jusqu’à Aix-en-Provence. Ensuite la notion de capillarité, de desserte fonctionnelle, et de réseau hiérarchisé doit prendre le relais. Cela n’est pas concevable car les infaillibles devraient coopérer avec des acteurs sociétaux et ils ne seraient plus les seigneurs des territoires provençaux et devraient partager le rayonnement avec des non-élus, impensable !

Dans le Var et pour les Alpes Maritimes, les infaillibles ont l’obligation de penser, de faire penser, d’exiger de la SNCF qu’elle conçoive un réseau pour lequel une partie va vers Toulon et une autre passe par Brignoles et plonge vers Les Arcs. Cela n’est pas pensable pour les médiocrates car il faudrait que la gare des Arcs-Draguignan devienne une plateforme multimodale. Une telle option est intolérable pour le narcissisme niçois et toulonnais.

Tant que dans le Var et pour les projets d’aménagements l’intérêt des populations, le devenir des territoires et la gestion projective de l’interface humanité/espaces terrestres de cette partie de la Provence, seront écrasés par l’individualisme, la cupidité et le mépris du devenir collectif, les propositions ne seront que des impostures idéologiques et dogmatiques, dont les tenants sont prêts à toutes les justifications pour les imposer.

Dans le Var, comme dans de trop nombreux territoires, les médias ignorent leurs devoirs et préfèrent servir les barons locaux au détriment du territoire, de l’interface victime des errances et de l’infaillibilité. Pour éviter ce développement médiocratique la SNCF doit penser à l’organisation du territoire et l’ETAT à l’obligation de penser  l’aménagement du territoire.

Hélas, dans le Var, les politiques préfèrent des gandins qui brillent à la quiétude et à l’avenir de la Provence. L’ignorance de la démagogie électoraliste est là, dans toute sa splendeur, devant nous et les médias soutiennent de telles dégénérescences car cela sert leur gamelle. La France est malade des prétendus médias intègres vecteur d’éthique. Pour l’heure nous en sommes très loin !

Partager cet article
Repost0
31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 07:57

MARSEILLE baigne à nouveau dans le sang. Les règlements de comptes deviennent une normalité d’une société normale pour laquelle les territorialisations par la violence, les sanctuarisations par des formes de violences que ce soit la drogue, les trafics ou la prostitution n’existent pas selon les croyances et les conceptions idéologiques des spécialistes en sociologie et en géographie.

Des solutions sont formalisées pour répondre aux meurtres ainsi qu’à une forme superficielle de conscientisation des réalités des sanctuarisations par violence si présentes à Marseille. Ces solutions ne font qu’effleurer les réalités. Elles ne rentrent pas dans le réel. Elles demeurent superficielles car pour répondre il est impératif de percevoir, d’admettre et de prendre en compte les faits.

Le gargarisme intellectualisteau sujet des violences empêche toute émergence divergente à la doctrine dominante du tout sociologique. L’ignorance et l’absence de travail en profondeur sur les mécanismes de la production de territoire par l’affirmation de territorialités identitaires nous mettent là où nous sommes devant le triste constat de la victoire des dogmes et des clientèles.

Tant que les prétendus spécialistes, les fameux intellectualistes universitaires, seront les conseillers de politiques et d’institutionnels qui boivent leurs paroles et leurs errances car celles-ci servent leurs intérêts, aucune solution viable ne sera mise en place. Tant que François et se potes n’auront pas le courage d’aller chercher ceux qui décortiquent la réalité aucune réponse pertinente ne sera donnée.

J’en reviens, avec acharnement, aux travaux de Yannick Brun-Picard sur les thèmes des dynamiques des territorialités des violences identitaires, les territorialisations, la production de territoires par la violence, ou encore les dynamiques territoriales de sanctuarisation par la violence. L’ignorance, la suffisance et l’infaillibilité des pavloviens qui préfèrent servir leurs cercles d’influence, leur réseaux et leurs dépendances, font que ses travaux sont encore rejetés.

Tant que les institutionnelsn’agiront pas sur les mécanismes de la production de sanctuaires par la violence, c’est-à-dire sur les éléments qui contribuent à la construction d’un territoire, toutes les solutions proposées interviendront sur du superficiel puisque elles sont orientées vers l’objet déjà élaboré, alors que pour endiguer la violence il faut agir sur ce qui va structurer l’objet.

Les médias dans tous ces miasmesdemeurent au rang de mouche du coche. Ils font en sorte de médiatiser sous les aspects de focalisation de l’attention sans pour cela se donner la peine de prendre en considération l’agrégation des dynamiques identitaires des territorialisations par la violence. Ils alimentent la violence des diffuseurs de violence en les élevant au rang de menace.

Aujourd’hui nous avons Ayrault qui avec ses copains, à grands renforts médiatico-communicationnels, prétend mettre en place des solutions pour résorber la violence en cours. Le problème c’est qu’il considère l’éradication sanglante entre voyous comme de la violence, et qu’il ignore ce qu’est la violence vécue, subie et si oppressive qui écrase les citoyens du fait de l’ignorance volontaire des politiques et institutionnels qui préfèrent lustrer les blablateurs universitaires que valoriser ceux qui leur mettent le nez dans la réalité.

François, son pote Ayrault et le camarade Valls, n’iront jamais chercher les travaux de Yannick Brun-Picard et moins encore l’intéressé pour concevoir des actions dans la profondeur. D’une part ces actions ne seraient pas médiatiques. En second lieu il faudrait prendre une personne qui n’appartient pas aux normes, aux cursus et autres clientèles. Enfin, et c’est le pire pour ses personnes ils devraient admettre qu’ils y a des brasseurs d’air en poste et que la validation de spécialiste est viciée.

Ils n’auront jamais le courage de se tourner en direction d’un ostracisé pour s’approprier les phénomènes de violence source de dynamiques de territorialités identitaires, vectrices de territorialisations pour la production de territoires sanctuarisés par la violence.

Qui sait, ils auront peut-être un sursaut de conscience et inviteront cet anachronisme aux réunions prévues pour répondre aux violences si présentes à Marseille et dans de nombreux lieux qui constituent une mosaïque de territoires de violences qui gangrènent le territoire national.

Ce serait une révolution que de voir un chercheur décrié, raillé et ostracisé, être au minimum écouté, employé et valorisé par des structures qui ne tolèrent pas que l’on démontre qu’elles se sont fourvoyées par ignorance, suffisance et clientélisme. Le changement est-il maintenant ? Tu rêves Charles ! Ils vont continuer à alimenter leurs réseaux et les illusionnistes sans faire de vagues. Hélas.

Partager cet article
Repost0
30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 14:57

MARSEILLE à nouveau se trouve sur le devant de la scène médiatique suite aux derniers évènements violents. Ayrault organise une réunion interministérielle pour tenter de répondre à ce fléau tout en refusant arcbouté sur ses croyances, ses idéaux et ses clientèles que le blablatage suffira.

La suffisance et l’infaillibilité instaurées et institutionnalisées par la pavlonisme propre à l’émergence d’une prétendue élite est la cause principale à l’inefficacité des orientations prises jusqu’à maintenant. Tous réfugiés par dogmatismes derrières les universitaires, qu’ils soient sociologues ou géographes, les institutionnels n’ont fait que voir ce que leurs idéaux toléraient.

Les médias dans leurs démarches de politisationet d’idéalisation de la société par les prismes idéologiques sont tout aussi responsables que les politiques fourvoyés dans les théories fumeuses des universitaires illusionnistes qui refusent les réalités des violences urbaines et de leur mode d’implantation, de territorialisation ainsi que les identités territorialisées.

Les travaux de Yannick Brun-Picard sont vérifiés. Ses théories sont validées par les faits qui se déroulent en ce moment et depuis au minimum une décennie dans les périphéries des grandes villes, dans certaines cités et autres quartiers où les institutionnels par confort doctrinaire ont engagé une démission du rôle et des obligations des représentants de la nation.

Il est atterrant de voir qu’un chercheur en géographie et en sciences humaines a été étrillé, détruit, enterré vivant, moqué, raillé et tenu sous silence par le rejet complet, sauf un texte au Canada, de ses recherches, alors que ce qu’il décrit, les mécanismes qu’il met en évidence sont ce qui se déroule dans tous les lieux sanctuarisés par la violence sous toutes ses formes.

Je doute qu’Ayrault possède suffisamment de courage, ainsi que Valls, Peillon ou Taubira, sachant qu’il a démontré lors d’un colloque à l’école nationale de l’administration pénitentiaire des dynamiques de territorialisations par des phénomènes de dangerosité dans les établissements pénitentiaires, pour faire en sorte que les travaux sur les dynamiques des violences urbaines de Yannick Brun-Picard soient employés.

Nous sommes dans le déni le plus absolu. Les institutionnels dissimulés sous les incantations des universitaires, qui ne font que servir leur carrière, leur dogme, leur école doctorale et leur prestige individuel, au détriment de l’évolution des savoirs et des réponses données pour construire une société plus vivable, font tout leur possible pour ne pas fixer la réalité.

Une société qui refuse de chasser les imposteurs, qui ne tolère que ce qui sert les idéaux et les dogmes des puissances en place, qui n’accepte pas de corriger les dysfonctionnements et les points négatifs, qui ne fait que se gargariser sur ce qui fonctionne, qui n’a aucune considération pour ce qui ne provient pas des cursus honorum, qui méprise les citoyens, et qui accepte que les élus de la nation ne répondent pas aux questions des citoyens, est bien mal en point et plonge vers les abysses.

Soi-disant : le changement c’est maintenant ! Pour l’instant rien ne change. François fait du Sarko dans les actes. Les ministres brassent de l’air et n’entrent pas avec toute la détermination souhaitée, attendue et impérative dans les problèmes pour répondre à ces derniers et éradiquer les errances accumulées depuis des décennies par lâcheté électoraliste.

Que les prétendus spécialistes lisent les travaux sur les dynamiques territoriales des sanctuarisations par la violence de Yannick Brun-Picard et qu’ils cessent de se palucher sur l’autel de leurs croyances. Bientôt il sera trop tard. A force de ne pas vouloir voir les réalités de la société, à force de ne prêter attention qu’aux bulletins de vote, à force de mépriser les citoyens, la société se désagrège.

Halte aux impostures. Que François impose à Ayrault, Valls et Peillon pour le moins qu’ils s’instruisent et sorte de l’ignorance dans laquelle les universitaires à la botte de l’idéologie d’un intellectualisme à courte vue les enterrent afin de satisfaire leur ego et leur suffisance.

Pour toutes ses personnes accepterqu’une personne hors des cercles, des réseaux et des clientèles puisse avoir raison, puisse être la source aux réponses à articuler pour répondre au fléau de la violence et de ses territorialisations, n’est pas envisageable.

Reste que le courage de François pour secouer la suffisance, l’infaillibilité, le pavlonisme, le dogmatisme et l’intellectualisme. Tu peux rêver Charles : le changement ce n’est pas pour maintenant !

Partager cet article
Repost0
26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 17:08

La sanctuarisation par la violence est si évidenteaujourd’hui que les institutionnels crient haut et fort que l’on ne peut pas lutter contre les fléaux de ce genre qui agrègent toutes sortes de trafics, de contrôles territoriaux et d’emprise psychologique, de coercition, sur les habitants des zones gangrénées.

A Marseille le fléau est si présent que la norme de la normalité fait dire aux médias que cette situation est normale, traditionnelle voire même qu’elle fait partie du folklore. Pourtant, il y a une dizaine d’années Yannick Brun-Picard a démontré les mécanismes des territorialisations par la violence, les trafics et les réseaux dans les cités et dans de nombreuses zones urbaines.

Les sociologues, toujours en poste, les géographes, toujours en place, les urbanistes de même, les institutionnels et autres politiques et administratifs n’ont pas daigné lire ses travaux. Il faut dire qu’il était mis à l’index par le monde universitaire. En effet comment tolérer qu’un électron libre démontre que des prétendus spécialistes se sont fourvoyés par dogmatisme et idéologie ? Impossible !

Aujourd’hui, à Marseille, les théories, la théorisation de la sanctuarisation par la violence de Yannick Brun-Picard est démontrée par l’exemple. Pour des prétendus scientifiques ça n’a que peu d’importance que de théoriser les sciences humaines. Il vaut mieux théoriser l’expansion de l’univers alors que nous ne sommes pas capables de comprendre les perversions de notre humanité.

A Marseille la sanctuarisation par la violence est une normalité. Les réseaux, les trafics, les contrôles territoriaux, les marquages, les spécificités, les emprises territoriales physiques, cognitives et virtuelles sont toutes là. Tous les acteurs de la lutte contre les trafics à Marseille font les constats de territoires de violences qui sont de véritables sanctuaires.

Marseille : vérification éclatante de la pertinence des analyses, des théorisations et des méthodologies de perceptions, analyses, compréhension et explication, développées par Yannick Brun-Picard, devrait alerter les personnes aux responsabilités, ou tout au moins faire en sorte que ces travaux ne soient plus frappés par l’index et sa personne d’ostracisme.

Avoir raison seul contre la multitude n’est pas socialement admissible. De plus, cet anachronisme qui n’appartient pas aux réseaux, cercles et clientèles universitaire à cause de son cursus, ou de son absence de cursus, n’a pas pour coutume de mâcher ses mots. Que va faire Peillon ? Va-t-il le laisse au fond de son trou, où les médiocrates l’on enterré vivant ? A mon avis OUI !

Que vont faire François et son copain Ayrault ? Vont-ils ignorer qu’un chercheur, brûlé sur le bûcher des clientèles, à produit des travaux qui démontrent que des sanctuaires de violences existent en France et que les sociologues et autres géographes en font la négation car cela va contre leurs idéologies et les dogmes d’un méthodologisme à courte vue.

Les lignes produites par ce blog n’apporteront certainement pas grand-chose à ce chercheur qui a démontrer il y a une dizaine d’année les mécanismes de la sanctuarisation par la violence, l’existence de territoires de violences, de dynamiques de territorialisations et des territorialités identitaires vectrice de conquêtes territoriales par la violence.

Néanmoins, elles existent. La colère exprimée à la hache et l’amertume de voir que nos prétendues élites préfèrent se fourvoyer plutôt que de recruter une personne qui avait déjà raison il y a dix ans et qui aujourd’hui devrait être une référence, peuvent donner une image altérée de la pertinence de ces travaux sur les dynamiques de territorialisations par la violence en zone urbaine.

Il est plus que probable que François fasse comme son pote Sarko : qu’il ignore l’existence de ces travaux qui mettent à mal les universitaires qui ont l’outrecuidance de se présenter comme des spécialistes des violences, des dynamiques des violences urbaines, ou des territorialisations. Il est probable que Peillon ne parvienne pas à la décence cognitive d’une conscientisation praxéologique et demeure dans la ligne de l’ostracisme et du rejet car n’appartenant pas aux cercles.

Que dire de Valls dans tout ça ? Pas grand-chose ! Il fera comme ses copains et comme Najat : il blablatera et n’aura pas le courage de poser la question aux universitaires : Comment ce fait-il que des travaux qui démontrent ces sanctuarisations ont-ils été ignorés ? Nous sommes en France pour briller, même faiblement, il faut appartenir, ou au minimum entrer dans un cercle d’influence, une sorte de clientèle distante et agrégée. Ailleurs, ceux qui ont le courage de conscientiser prennent la diversité et la différence pour construire un monde meilleur et non le meilleur des mondes…

Partager cet article
Repost0
12 août 2012 7 12 /08 /août /2012 08:27

La normalité de la violence ostentatoire développée, renforcée et institutionnalisée installe des zones d’insécurité prioritaire. Attristant de voir que la France se trouve dans l’obligation de gérer des parcelles territoriales où les forces de l’ordre ne peuvent aller.

La mise en place de zone de sécurité, d’insécurité, prioritaire démontre par le fait la démission des acteurs sociétaux. Elle démontre une forme d’ignorance, d’inquisition et de déni de travaux qui depuis dix années exposent les mécanismes des territorialisations par la violence. Et elle insiste sur l’infaillibilité des décideurs qui ne peuvent pas prêter attention à ce qui ne provient pas de leurs cercles de leurs réseaux et de leurs clientèles.

Moins percutant, agressif et acide, qu’à l’habitude, sous peine de voir ce texte mis à l’index par le modérateur, je persiste dans l’analyse de la fuite intellectualiste des politiques et autres acteurs des hiérarchies administratives pour éviter d’ouvrir les yeux et de constater qu’il  n’est publié que ce qui satisfait le système et flatte l’ego du lecteur.

Oui, des sociologues se sont fourvoyés en rejetant la réalité de la construction de territoires construits par des territorialités identitaires de violences. Oui, des géographes se sont dissimulés sous l’absence d’un objet de la géographie pour faire la négation de l’interface humanité/espaces terrestres. Oui, des institutionnels se sont réfugiés dans leur infaillibilité pour s’appuyer sur les universitaires pour ne pas prendre en considération les faits.

N’oublions pas que la médiocratie est une société gérée par des élites, ou prétendue telles, constituées de brillantissimes ayant répondus aux normes normalisantes de la normalité d’une appartenance et d’une intégration idéologique et doctrinale. Le rejet, la mise à l’index, l’ostracisme des travaux qui ont alerté le système universitaire ainsi que ceux du pouvoir politique, attestent de cette médiocratie.

Les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences urbaines, les territorialisations des violences identitaires, les dynamiques territoriales des violences, les sanctuarisation par la violence, les interfaces de violences ou encore les territoires des violences ostentatoires, sont totalement rejetés car ils mettent en évidence que les institutionnels n’ont pas le courage de changer de paradigme pour agir concrètement sur les réalités des violences.

Il est tellement plus facile de dire que c’est la faute de la société, de ses disparités et de ses inégalités pour justifier des sanctuarisations dans des cités, des quartiers et des villages, où la violence de voyous de toutes sortes terrorise les habitants sans que la force publique daigne intervenir pour servir le citoyen.

Nous avons tous des pulsions de violence. Nous sommes tous potentiellement des violents qui vont s’efforcer de préserver un sanctuaire dans lequel la quiétude de l’individualisme sera préservée. Nous sommes tous des vecteurs de violence dans nos attitudes, nos réactions et nos ignorances. Nous sommes ainsi, par notre volonté médiatico-communicationnelle de ne rien voir, entendre et conscientiser, presque autant responsables que les institutionnels qui se dissimulent derrière les errances des universitaires et leurs expositions idéologiques au mépris des réalités.

Les zones d’insécurité prioritaire démontrent par le fait que la fuite devant les faits est des plus réelles. Démontrent que les institutionnels ne possèdent pas le courage de conscientiser les errances aveuglantes des systèmes qui n’ont qu’une finalité préserver leurs privilèges. Démontrent qu’à force de préserver les cercles, les réseaux et les clientèles, la société est gangrénée par les violences.

Partager cet article
Repost0
11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 10:31

Une émission sur une chaine publique a récemment traitée des zones de sécurité prioritaire. Les intervenants ont ouvertement démontré que des territoires de violences s’étaient constitués et que des zones dites publiques étaient sanctuarisées par des formes de violences.

Un vent de colère, de révolte, un ras-le-bol devant la suffisance et l’infaillibilité des prétendus universitaires et autres sociologues et prétendument spécialistes des violences, se lève. En effet, il y a dix ans Yannick Brun-Picard lorsqu’il a démontré ces territorialisations, ces dynamiques territoriales de violences sociétales et les territorialités de la violence : il a été étrillé.

Tous les universitaires, les sociologues, les géographes et autres urbanistes se sont foutus de lui. Il a été ridiculisé et enterré vivant, mis à l’index pour ne pas dire ostracisé. Tout ça parce qu’il démontrait ce qu’aucun prétendu universitaire n’était capable de rendre accessible et surtout que ce qu’il mettait en exergue, qu’il rendait accessible, était la réalité, l’aveuglante réalité.

Aujourd’hui les médias parlent de sanctuarisation, de dynamiques territoriales de la violence, de territorialités de la violence, d’interface humanité/espaces terrestres structurée à partir de situation de violence, sans omettre les territorialisations par la violence. Pourquoi, ces médias qui vampirisent les travaux de Yannick Brun-Picard ne mettent-ils pas en évidence qu’un obscur chercheur avait alerté les lustreurs de bancs universitaires ?

Simplement, médiocratiquement : il faut appartenir. Il faut être dans la mouvance, dans les cercles d’influence, dans les réseaux et dans les clientèles. Sous l’ère Sarko aucun brillantissime pavlovien n’a eu le courage d’aller chercher ces travaux. Sous l’ère de la normalité Hollandienne il en sera certainement de même, car il faudrait pour se tourner vers Yannick Brun-Picard admettre que des imposteurs tiennent des postes et que les clientèles sont vérolées.

François et ses copains ont les outils pour agir sur les articulations de la constitution d’un sanctuaire par la violence territorialisée. Je doute fermement qu’il possède suffisamment de courage pour mettre en avant ce paradigme qui emploi le concept d’interface humanité/espaces terrestres afin de saisir l’empreinte d’un groupe sur une parcelle et d’en lire les dynamiques.

En ce moment ils sont en vacances, il est nécessaire d’en prendre, pour s’armer de courage et s’engager dans des directions où les clientèles sont ignorées. Bien qu’en observant ce qu’il se passe dans les nominations et les intégrations ont se rend compte que François et ses copains font comme Sarko voire, pire en ignorant toute provenance autre que l’appartenance et la normalité.

Je ne comprends pas qu’aujourd’hui tout le monde parle de territoires de violences, de sanctuarisations par la violence, de dynamiques territoriales de violences, et que, personne ne cite les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences urbaines, les territorialisations par la violence, les violences identitaires.

Trop de clientèles se servent sur la bête, la nation, pour qu’un anachronisme puisse émerger. Jamais, ceux qui prétendent vouloir la diversité et la différence, que lorsqu’elle provient de leurs propres rangs, n’auront le courage de conscientiser leur égarement et se prendront en main pour entrer dans le concret en allant chercher ce pas normal aux marges des systèmes.

Il est des plus inquiétant, dans une France où des élus ont le devoir de faire en sorte de faire avancer la société, de constater que ces prétendus responsables, sans aucune responsabilisation réelle, ne possèdent une once de courage pour ouvrir à la hache les univers médiocratiques d’un intellectualisme universitaire, qui par son autisme à l’encontre des théories de Yannick Brun-Picard, démontre par le fait, la falsification, que leur ignorance sur les réalités a contribué à la situation actuelle.

François et tes conseillers, recrutés dans les cercles d’influence et dans les clientèles, vous n’aurez jamais suffisamment de pratique praxéologique pour mettre au service de la nation ce pas normal qui a lu la société dans ses miasmes avant que la réalité ne soit plus dissimulable. De toute manière la praxéologie n’est pas enseignée dans les sciences dites de l’éducation. Les médiocrates préfèrent la réflexivité. Laquelle ignore la conscientisation.

Partager cet article
Repost0
19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 12:43

Un jugement vient d’être prononcé à l’encontre de cinq jeunes qui exerçaient des formes de violences dans une cité. Ils ont été condamnés à des peines de 3 à 6 mois de prison ferme. Pourquoi, je m’attarde quelques lignes sur ce thème ?

Il y a dix ans Brun-Picard Yannickdémontrait que des cités en France étaient sanctuarisées. Que des zones urbaines, des territoires dans les cités, étaient des points d’ancrage à des formes de violences, à l’oppression, la coercition ainsi qu’à des dynamiques de violences cognitives, sans omettre les violences physiques qui les accompagnaient.

Ce « chercheur » a été étrillé, écrasé, démoli, par des sociologues et autres universitaires qui trop aveuglés par leurs idéaux, leurs appartenances et surtout leurs réseaux, étaient incapables de voir ces phénomènes de violences au cœur de nombreuses cités et prenant une certaine ampleur.

Ce « chercheur » a été ridiculisé, ignoré et tancé par des géographes et autres universitaires, qui trop arcboutés sur leurs doctrines, leurs croyances, l’absence d’objet de la géographie, et leurs méthodologies techniciennes faisant la négation de l’interface humanité/espaces terrestres, ont développé des trésors de mépris pour que ses textes ne puissent pas voir le jour et soient jetés aux oubliettes. Ce que le système fit sans le moindre problème.

Ce « chercheur » a démontré que des groupes de jeunes sanctuarisaient par la violence, par diverses formes de violences, des parcelles d’espaces terrestres, les constituants en territoires desquels étaient exclus tout étranger à l’entité dominante.

Brun-Picard Yannick a démontré à maintes reprises que ce soit à Nantes, Montréal, Ottawa, Québec, Sherbrooke, Bordeaux ou Anger, que des dynamiques de violences engendrent des territorialités qui produisent des territoires de violences, par leurs expression, leurs destinations et par leur nature de support de violence et de besoin de violence.

Ce « chercheur » a publié, aux cahiers de géographie du Québec, un article : http://www.erudit.org/revue/cgq/2009/v53/n150/039185ar.html?vue=biblio, il est vrai que ce texte est paru en 2009. C’est le seul témoignage des travaux qui mettent à mal toutes les croyances, les dogmes des clientèles et les errances des sociologues et autres géographes qui l’ont méprisé.

Aujourd’hui, le jugement rendu démontre par les faits, par la violence subie par les populations terrorisées qui ne sont pas allées au procès, que les théories de la territorialisation par la violence démontrées par Brun-Picard Yannick se vérifient.

Il est vrai que certains diront qu’il faut parvenir à la falsification. Mais leur lecture de Popper est de nature médiocratique et pavlovienne car ils ignorent que la critique doit être constructive pour faire avancer notre connaissance sur le monde des faits. Eux ont critiqué, démonté, détruit et ignoré des travaux qui aujourd’hui attestent de la justesse de l’analyse et des démonstrations.

Probablement que ce « chercheur » devrait courber l’échine et lustrer des pompes pour être cité, et quelque part tant soit peu reconnu. Je doute fermement qu’il cautionne une telle perversion. Les clientèles des cercles de pouvoir par leur ignorance, leur cupidité et leur infaillibilité sont responsables de la situation. Elles ont dissimulé la réalité afin de servir des idéaux, des doctrines et des écoles de pensées qui ne font que se gargariser de blablatages à courte vue d’intellectualisme réducteur.

Il est vrai que dans nos sociétés il est socialement inacceptable d’avoir raison avant tout le monde, simplement parce que les réseaux, les appartenances et les clientèles verrouillent les nominations, les publications et les recrutements. Dans cette situation lamentable Brun-Picard Yannick demeurera au fond de la cuvette de l’ignorance, de la bêtise et de la suffisance simplement parce qu’il a eu raison avant tout le monde et pire encore contre toutes les structures dites de l’élite intellectuelle et universitaire.

Puisque le changement c’est maintenant, les acteurs du système d’enseignement, de recherche, vont-ils avoir le courage d’admettre leurs errances, même superficiellement, et donner à ce chercheur la place que l’on peut attendre ?

Pour ma part j’en doute. Il faudrait pour cela que les pavloviens conscientisent leurs dysfonctionnements et perçoivent les abus de pouvoir. Il faudrait que les institutionnels parviennent à la dignité de servir la nation et non servir les cercles de pouvoir, d’influence et de clientèle.

Si le changement c’est maintenant, demain, ce chercheur aura un poste… Là tu rêves Charles !

Partager cet article
Repost0

Géosociétologie

  • : Le blog de geosocietologie
  • : Géosociétologie est un néologisme employé pour regrouper dans une perspective transdisciplinaire les sciences humaines tout en décortiquant de manière critique les errances de nos sociétés.
  • Contact

Recherche

Liens