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15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 09:02

Au mois de septembre à Victoriaville au Canada va se dérouler un Festival de la Paix. Organisé par des volontaires, des engagés contre la bêtise et l’ignorance, sans omettre des porteurs d’une volonté affirmée de réduire toutes les sortes d’affrontements.

Anne, la grande prêtresse, même si le terme n’est pas très heureux voire à connotation péjorative, est la cheville ouvrière de cette organisation qui déploie des trésors d’inventivité, de générosité et d’abnégation pour proposer des pistes, des orientations et des solutions afin de parvenir à une Paix dans le Monde.

Lors de ce Festival pour la Paix des personnes de tout horizon proche et lointain vont partager, suggérer et certainement produire des options, des conscientisations à même de nous faire progresser dans la construction de la Paix internationale, nationale, sociétale et sociale. Ils vont avoir du travail pour faire émerger ce que les politiques, les institutionnels et nombre d’acteurs refusent de voir.

Il est plus que probable que lors de ce Festival pour la Paix, loin de miasmes et des bruits assourdissants des grandes villes, les thématiques pour la construction de la Paix et les théorisations méthodologiques développées par Yannick Brun-Picard lors du Congrès de l’ACFAS au mois de mai 2012 trouvent une nouvelle résonnance.

En effet, les matrices d’études, de projections et de solutions exposées sont en mesure d’ouvrir des axes de réponses et de constructions de la Paix que ce soit pour les domaines internationaux, nationaux, sociétaux et sociaux. Ce chercheur spécialisé dans les dynamiques territoriales des violences proposent des trames pertinentes pour tendre vers toutes formes de Paix.

Les quelques lignes de ce texte n’ont pas pour finalité de reproduire ce qu’il a exposé. Elles ont pour finalité de mettre en exergue qu’une personne en l’occurrence Yannick Brun-Picard a démontré que ses théories étaient employables pour répondre aux phénomènes d’affrontements sociétaux et sociaux. Il serait donc judicieux pour les politiques en place que ce soit François ou son copain Valls d’imposer à leurs conseillers si chèrement rémunérés sur le dos du peuple de leur imposer de lire ces textes.

Par ailleurs lutter contre la violence avec pour seule finalité de l’endiguer ne peut pas donner de résultats valables. Il est impératif de se pencher sur l’interface humanité/espaces terrestres d’émergence de la forme de violence avec les constituants à sa maturation, sans angélisme, dogmes, idéologies et moins encore infaillibilité.

Il faut pour parvenir à s’extraire des écueils où le pavlonisme a entrainé la France accepter que trop de prétendus intellectuels ne font que blablater sur le thème des violences. Il est nécessaire dans le même temps concevoir l’action contre la violence et pour la Paix, ce qui n’est pas la même chose, mais utilise les mêmes références et les mêmes outils dans des perspectives dissociées.

Ce ne sont pas les universitaires, les spécialistes et moins encore les institutionnels ou politiques qui vont produire des matrices de théorisation de réponses et de constructions d’options de lutte contre la violence et d’instauration de la Paix internationale ou sociétale. Ils sont trop occupés, préoccupés, à préserver leurs postes, leurs statuts et leurs privilèges pour laisser émerger des facettes de la réalité qu’ils n’ont pas pu concevoir car aveuglés par leurs idéologies.

Aujourd’hui la France ne peut plus se dissimuler derrière l’intellectualisme et les errances universitaires pour dire que c’est la faute de la société, de l’histoire ou de quelques oublis d’une médiatisation exacerbée. A partir de l’instant où une personne a mis en évidence, démontré, qu’il est possible de produire des solutions viables pour répondre aux violences sociétales et sociales, tout en œuvrant pour la Paix à quelque niveau que ce soit, les institutionnels ont le devoir de prendre les théories proposées pour s’engager dans la lutte contre la violence et pour la Paix.

Cela réclame que les médias sortent de l’inertie dogmatique, que les intellectuels et autres universitaires commencent à accepter que la réflexion, la pensée et la production, peuvent provenir d’ailleurs que d’un univers pavlovien.

Je doute que les médias possèdent la volonté réelle de vouloir contribuer à la lutte contre les violences et ainsi œuvrer à la construction de la Paix sociétale. Je doute que les institutionnels, les politiques et les dits intellectuels possèdent suffisamment d’humilité pour sortir de leur inertie rétrograde et prendre ce qui ne provient pas des réseaux, des cercles et des clientèles.

Le Festival pour la Paix de Victoriaville au Canadadevra alors faire encore énormément d’efforts pour parvenir à toucher profondément les consciences de ceux qui ont le devoir d’agir contre les violences, d’œuvrer pour la Paix et surtout d’ouvrir leur conscience à la diversité et à la différence.

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13 août 2012 1 13 /08 /août /2012 09:24

Où débute la tyrannie ? Pour certains dans l’hégémonie d’un régime militaire, pour d’autres dans une dictature aveugle alimentée par des idéaux et des dogmes qui font la négation de la partie de l’humanité qui n’est pas à leurs bottes, ou encore pour quelque uns dans l’obligation de normalité.

La discrète tyrannie dans laquelle nous vivons, que nous cautionnons, et pire encore que nous validons, regroupe ces différents aspects sous des formes plus ou moins diluées. En effet, nous sommes écrasés en France sous la chape de plomb de la normalité de l’appartenance pour parvenir à émerger.

La discrète tyrannie en France fait que l’on a l’obligation de s’exprimer comme le pouvoir l’attend, l’exige, pour avoir une potentielle tribune. Elle est, cette tyrannie visible dans les actes des médias qui se réfugient dans les errances et les miasmes médiatico-communicationnels pour que rien ne vienne déranger un système qui fait la négation de la citoyenneté.

La discrète tyrannie de la pensée se fixe, par des effets d’annonce, sur la prostitution, mais ignore les réseaux souterrains de la prostitution organisée dans les structures de pornographie et l’esclavagisme sexuel, car pour les tyrans de la pensée unique la pornographie n’est pas de la prostitution.

La discrète tyrannie en France exprime son hégémonie dans la normalité normalisante de la norme. Et oui, il faut appartenir, il faut avoir suivi un cursus honorum pour parvenir à s’extraire de la multitude. Tous ceux qui ne se soumettent pas à la tyrannie de l’appartenance, des cercles et des réseaux, sans omettre les clientèles : sont éradiqués.

La discrète tyrannie idéologiqueet prétendument méthodologique met en place des commissions pour corseter la pensée hors de la normalité. Elle fait en sorte que rien ne vienne déranger l’instauration d’un système inertiel au détriment des citoyens. Elle organise les forces vives de la France au service d’une prétendue élite.

La discrète tyrannie est cette attitude médiocratique qui accepte que ce que l’on veut entendre et lire, en mettant à l’index tout se qui met à mal les dysfonctionnements des organisations qui spolient les citoyens et propagent la propagande et l’illusionnisme.

La discrète tyrannie est une technique dont l’objectif est de faire croire, et non de convaincre, que tout va pour le mieux, que le rêve de la normalité est la meilleure des choses sans omettre que les règles des institutions qui sont faites pour préserver les privilèges et les augmenter sont justifiées.

La discrète tyrannie est la démarche, l’intellectualisme, pour laquelle tout ce qui ne provient pas des rangs n’a pas de possibilité d’existence. Elle fait en sorte qu’un sur un million puisse émerger afin que la multitude garde quelques espoirs de conquête, sachant que tout est verrouillé par les appartenances, les cursus et les clientèles.

La discrète tyrannie est de donner sans compter à des groupes, des obédiences ainsi qu’à des dogmes, tout en ignorant les citoyens qui eux voient leurs droits disparaitre. Elle met face à face ceux qui servent les idéaux du pouvoir bienpensant contre les citoyens en affirmant haut et fort qu’il n’en est rien puisque l’égalité est en apparence préservée.

La discrète tyrannie est l’intellectualisme et le pavlonisme agrémenté de l’infaillibilité, pour lesquels il est impensable de tolérer que l’on puisse mettre en exergue la réalité. En effet, elle ne supporte que la vérité. La vérité n’est que parole et non réalité.

La discrète tyrannie déjà présente sous les ères du mitterando-gaullisme, s’est renforcée sous le sarkozysme et prend une ascendance sous l’hollandisme. Il y a trois mois il fallait se situer dans une zone proximale de contact pour avoir quelque considération.

Après cent jours, la discrète tyrannie, impose l’appartenance aux cercles, aux réseaux et aux clientèles pour que chacun puisse parvenir à être reconnu. La discrète tyrannie devient la norme de la normalité sociétale à la française, intensifiée par les structures communicationnelles qui densifient leur hégémonie médiatique sur les citoyens.

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5 août 2012 7 05 /08 /août /2012 08:46

L’ère du normal, de la normalisation normalisante est bien là. Des ordres nationaux sont décernés par clientélismes d’où des inquiétudes au sujet de l’impartialité des commissions et de la réalité des faits dans les cercles du pouvoir où les brillantissimes ont l’outrecuidance d’avoir la prétention d’être au service de la Nation…

La normalisation est la reprise dans les actes du sarkozysme. C’est-à-dire : clientélisme, préservation des cercles de pouvoir et d’influence et surtout mépris pour tous ceux qui n’appartiennent pas à ces zones sombres que l’on nomme les citoyens.

La normalisation est entrée dans les mœurs les plus perverses et dégradantes car elle met sous le sceau de la normalité les privilèges pour ceux qui se trouvent dans le bon filon. Les autres les escrocs de la politique pensent même leurs enlever les yeux pour qu’ils ne puissent plus pleurer.

Les principaux auteurs avaient fait en sorte d’alerter nos consciences en nous présentant des personnes visqueuses prêtent à toutes les bassesses, les manipulations et les fourvoiements pour affirmer leur position, leur puissance et démontrer ainsi leur capacité à nuire. Malgré toutes les pièces de théâtre existantes nous mettons en place des personnes qui répondent à ces normes.

La normalisation est l’ignorance de la diversité et de la différence. Vous allez me dire que sous l’ère hollandienne la diversité est là avec quelques figures et que la différence aussi est démontrée. Ce ne sont que des expositions de façade. Aller chercher la diversité et la différence ne s’effectue pas dans ses rangs, ses cercles et ses clientèles.

La normalisation dans toute sa lâcheté ne peut pas, comme sous l’ère du mépris sarkozyen, concevoir que l’on puisse penser, réfléchir et produire ailleurs que dans les réseaux du pouvoir en place. La suffisance et l’infaillibilité doublées d’une partialité à toute épreuve donne une image des plus déplorables des réalités de la France.

La normalisation d’une ère qui à l’outrecuidance de se prétendre normale est que les services de la présidence n’ont même pas la dignité, et moins encore la décence de répondre aux questions des citoyens. Pour cela il faudrait qu’ils considèrent les citoyens autrement que comme des vaches à lait et des bulletins de vote.

La normalisation fait que comme sous l’ère sarkozyenne on ne sert, on ne rend service, qu’à ceux qui peuvent faire briller. Tout ce qui peut poser problème, tout ce qui met en évidence les errances, les incompétences, les dysfonctionnements, les manques de courages et pire encore les lâchetés, est totalement ignoré.

La normalisation est la perfection médiatico-communicationnelle par laquelle une organisation politique fabrique ses références sociétales sur l’illusion. En ce moment la normalité fait que les errances du sarkozysme sont reproduites au service des clientèles de François.

La normalisation de la présidence normale fait que les médias poursuivent leur œuvre d’allégeance à une structure de pouvoir qui ignore les citoyens et ne se fixe que sur les votants. La normalité prônée par les acteurs de la politique actuelle expose en creux les inégalités et les abus d’un système politique pour lequel la notion de servir s’adresse avant tout aux clientèles et non aux citoyens.

La normalisation est la démonstration éclatante par les faits de l’ignorance de la réalité, de l’hégémonie, de la toute puissance des croyances, des doctrines et des idéaux, au détriment de la prise en compte des réalités. La normalisation est la méthode par laquelle les acteurs politiques nous font croire que les pires des décisions sont prises pour notre bien.

Aujourd’hui la normalisation de la normalité normalisante conduit la France dans un gouffre. Les réseaux, les cercles et les clientèles tels la mousse se positionnent au-dessus du peuple afin d’éviter d’être entrainés vers les abîmes.

Je doute que François possède suffisamment de courage politique, je ne parle même-pas de ses illusionnistes, pour aller chercher ceux qui exposent la réalité telle que les médiocrates ne veulent pas la voir car ils sont responsables de ses méfaits.

Il existe des travaux sur les dynamiques des violences urbaines et les territorialisations par la violence, sous Sarko ils ont été enterrés car ils démontraient l’incompétence des acteurs décisionnels. Maintenant le blablatage normalisant affirme qu’il veut agir, mais n’a pas le courage de mettre en œuvre des actions sur les articulations à même de limiter les violences.

Ça c’est la normalité normalisante, sous quelques aspects… nous devons nous en inquiéter !

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 08:09

Doctrine d’un idéalisme de la perfection d’une démarche monolithique à la réflexivité restreinte, porteuse d’un mouvement inertiel rétrograde, agrège les réseaux, les cercles de pouvoirs et les clientèles dans une légitimité idéologique.

Le méthodologisme est un mot très présent un peu partout. Chez les politiques, les enseignants et les universitaires cela devient une justification à toutes les démarches, à tous les choix, à toutes les mises à l’index, dont ces systèmes sont capables de produire pour demeurer sur leur piédestal.

Le méthodologisme ne s’explique pas. Il se prône. Il se décrète. Il est donné comme la ligne à suivre. Il est la doctrine face à laquelle il n’y a aucune prise. Il est de la violence ostentatoire, voir pour plus d’infos à ce sujet les travaux de Brun-Picard Yannick. Il n’est que parole sur la méthode employée sans pour exposer ce qui la constitue.

Le méthodologisme donne des objectifs sans ancrage contrôlable. Il fait rêver. Il met à portée de main les rêves les plus confortables sans démontrer comment y parvenir. Il ne montre pas le chemin à suivre. Il pose une direction à 180° sans autre orientation si ce n’est avec justice.

Le méthodologisme refuse, rejette, éradique tout ce qui ne provient pas de ses rangs. Seuls ses producteurs détiennent le savoir. Seuls ses metteurs en œuvre sont capables d’en démontrer sa scientificité, laquelle est indémontrable puisque non exposée.

Le méthodologisme ne peut pas être reproduit, ni évaluable et moins encore comparable à quelque réalité que ce soit, car pour ses producteurs il est la vérité. Il s’impose car les institutionnels attestent de sa véracité sans autre justifications que ce qu’ils disent.

Le méthodologisme justifie tout et n’importe quoi. Il s’approprie les travaux de ceux qu’ils éradiquent, tancent et enterrent en toute impunité protégé par des institutions malléables aux décisions clientélistes. Il ne cautionne que ce qui provient de ses appartenances et ses dépendances.

Le méthodologisme dans ses aspects succincts exposés ci-dessus fait souffrir la politique. Le mot méthode prend la place de toute démonstration ou exposition du cheminement qui va être entrepris pour répondre aux maux auxquels il faut répondre.

Le méthodologisme fait souffrir les institutions car il est un refuge aux médiocrates pavloviens qui sont si brillantissimes qu’ils ne peuvent pas sortir des textes en ignorant l’esprit de ceux-ci, sauf lorsqu’il faut servir leurs intérêts, comme cela se produit en ce moment.

Le méthodologisme fait souffrirles orientations décisionnelles car il enferme les acteurs dans des structures non évolutives dont les protecteurs ont l’outrecuidance d’affirmer que celles-ci sont adaptatives tout en ne faisant absolument rien pour répondre aux réalités de nos sociétés.

Le méthodologisme fait souffrir la France car il fait croire à la multitude, qu’en répétant de manière incantatoire que la méthode fera tout, que la France sortira du gouffre dans lequel elle sombre simplement par une méthode qui n’a aucune structure de sa démarche exposée.

Le méthodologisme est une mémoire sélective. Il permet de faire émerger des faits orientés, en mesure de justifier tout et n’importe quoi en fixant par exemple l’histoire aux cinquante dernières années mais surtout pas aux cinquante-cinq car sa doctrine et ses chois ne seraient plus valides car en contradiction avec les faits et la réalité.

Le méthodologisme est la tare principaledont souffrent l’éducation nationale et l’université. Cette tare est le refuge aux imposteurs cooptés qui ne font que de la méthode alors que leurs travaux ne font pas avancer notre maitrise du monde des faits. Le méthodologisme ne tolère pas que l’on puisse démontrer par les faits qu’il est obsolète, qu’il se fourvoie et qu’il est restreint.

Le méthodologisme n’a aucune considération pour les citoyens. Preuve en est le service du courrier de la présidence qui n’a toujours pas eu la décence, la dignité et le sens du devoir de répondre aux questions de citoyens. Car le méthodologisme ne tolère pas la différence, la diversité et l’ouverture.

Le méthodologisme cautionne exclusivement ses appartenances. Pour le méthodologisme ce qui ne lui lustre pas les pompes n’a pas la possibilité de s’exprimer, sans même parler de droit, car le méthodologisme ignore la légalité dont il s’arrange soutenu en cela par la méthode.

Le méthodologisme est la doctrine proposée en ce moment par ceux qui se trouvent aux responsabilités en France. Ils n’exposent pas le déroulé fonctionnel et pragmatique de leur action. Ils affirment à grands renforts de médiatisations qu’ils vont parvenir à tels objectifs sans pouvoir expliquer comme faire. Au même titre que les universitaires qui se gargarisent de la méthodologie pour justifier leurs travaux : si l’on enlève le vernis on se rend compte que c’est du vent, et pourtant eux publient et sont palmés.

Le méthodologisme est le triomphe de l’autojustification médiatico-communicationnelle !

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 10:19

La Syrie est un territoire en guerre civile. Depuis des mois ce pays voit ses citoyens être méthodiquement effacés par un pouvoir autiste, aveugle et infaillible. Parvenir à la PAIX n’est pas une action simple. Des géographes se sont penchés sur ce problème.

Un colloque : http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/80/400/439/c , ne fait que soulever de nouvelles questions et met en perspectives des options, parfois novatrices pour répondre à des conflits, des affrontements voire des guerres ouvertes au cœur d’une nation où ses ethnies s’entredéchirent.

Des géographes qui s’efforcent d’œuvrer pour la paix n’est pas une nouveauté. Déjà, il y a plusieurs décennies, ils furent à l’origine de partages territoriaux, pas heureux dans leurs devenirs et qui sont les sources aux affrontements contemporains. Aujourd’hui ils s’efforcent de construire la paix, la recherche de paix par le concept d’interface.

Un ouvrage à paraitre : http://livre.fnac.com/a4246636/Edith-Mukakayumba-La-geographie-en-question met en évidence le devenir des plus obscurs de la géographie si l’intellectualisme à courte vue des politiciens et autres pavloviens s’enferment dans l’espace en faisant la négation de l’interface humanité/espaces terrestres, objet de la géographie, à même d’être un vecteur de réponses efficientes et pertinentes suggérées : http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/50/16/53/PDF/TheseCana2.pdf .

Œuvrer pour la PAIX impose aux acteurs, aux agissants, aux intervenants et aux belligérants de vouloir agir dans cette direction en s’appuyant sur l’interface d’interrelation. C’est-à-dire le territoire où se déroulent : le conflit, les dynamiques existantes, les entités sociétales présentes et les orientations vers lesquelles les différents acteurs souhaitent tendre.

Cela signifie que dans cette perspective, tous les constituants d’une interface humanité espaces/terrestres sont mis en synergie pour produire une construction viable pour la paix. C’est une mise pratique des travaux de Brun-Picard Yannick sur les violences : http://www.erudit.org/revue/cgq/2009/v53/n150/039185ar.html?vue=biblio, et bien entendu aussi des développements exposés à Montréal sur la construction de la paix.

Nous avons ainsi un « chercheur » qui démontre les mécanismes de production de territoires par la violence en employant le vecteur de l’interface humanité/espaces terrestres, qui aborde sous la même approche la production de la PAIX en mettant en exergue les mécanismes et les articulations pour parvenir à sa production en passant par le concept d’interface humanité/espaces terrestres.

La notion, de guerre et de paix,mise en avant dans ce titre ne signifie pas que cet auteur et que ses approches et autres théorisations détiennent la vérité. Simplement, ce court rappel de l’existence de regards différents du pavlonisme, atteste que des pistes peuvent être développées pour répondre aux fléaux de nos sociétés.

Ce pose alors un problème : accepter qu’une personne qui n’appartient pas aux réseaux, aux cercles et aux clientèles, puisse avoir une tribune et que ces travaux sur les violences, les violences scolaires et la construction de la paix, qui appartient aux réponses aux violences, puissent être valorisés par des institutionnels qui sont sourds à tout ce qui ne provient pas des chapelles normalisées.

François va-t-il avoir le couragede dire aux institutionnels d’avoir le courage de mettre en sommeil leur infaillibilité et d’aller chercher cet anachronisme ? Pour ma part j’en doute ! Pour cela il faudrait que les institutionnels acceptent de s’être fourvoyés en s’enfermant dans des doctrines idéologiques et surtout de ne pas pratiquer la praxéologie. Elle n’est pas enseignée car trop exigeante pour les enseignants ce qui est intolérable dans un système éducatif qui ne fait que donner l’illusion.

La guerre en Syrie réclame pour trouver des solutions de concevoir ce pays comme une interface. Tant que cette notion, ce concept d’une géographie science des espaces terrestres des hommes, ne sera pas ancrée dans les démarches, les solutions proposées demeureront du colmatage aléatoire. Un seul point de vue ne peut pas suffire pour apporter des réponses. En revanche un outil de cohésion et de cohérence porteur de convivance est en mesure de soutenir la volonté de répondre.

Cet outil, cet objet, qu’est l’interface humanité/espaces terrestres, peut être employé pour tous les conflits et les affrontements existants actuellement et pour ceux qui se dessinent sournoisement dans les concentrations urbaines. Ce transfert de paradigme est indispensable à la production d’analyses, de compréhensions et de réponses pertinentes pour les phénomènes observés.

L’intellectualisme pavlovienenterrera-t-il ce pas en avant, ce paradigme des sciences humaines, alors qu’il permet de mettre en corrélation un territoire, ses dynamiques, ses sociétés et ses aspirations dans un cadre théorique ? Pour ma part, je crois, et bientôt je serai convaincu, que ces propositions demeureront dissimulées et ignorées car trop dérangeantes pour tous ceux qui refusent qu’un nouveau paradigme fasse se mouvoir les mouvements inertiels rétrogrades des intellectualistes pavloviens.

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 07:50

Le changement c’est maintenant ! Le peuple, vous savez ceux qui n’ont de la considération que lorsqu’ils s’apprêtent à voter, va être encore plus écrasé que sous Sarko.

Les propositions, les orientations et les décisions prises pour gratter des milliards, du fait de l’illusionnisme dans lequel les prestidigitateurs ont plongé la France, sont si néfastes au devenir de tous ceux qui perçoivent moins de 2000 euros mensuels que cela devient des plus inquiétants.

Les illusionnistes, soutenus dans leurs destructions des structures sociétales de la France par les médias et des idéaux qui vendent aux marchands du temple, aux mercantilistes et autres spéculateurs, le peu qui reste de la nation, vont tondre au sang les citoyens qui payent des impôts et pour lesquels  vivre avec 1000 euros mensuels relève de l’exploit.

Ils se prétendent être socialistes mais ne font rien pour tenir leur rang, pour réaliser leurs devoirs et pour préserver les citoyens avant toute chose. Ils servent des idéaux démagogiques et vendent la France sur l’autel du dogmatisme qui chaque jour démontre que l’identité française se désagrège. Ils augmentent la précarité pour les esclaves de l’éducation nationale : les fameux auxiliaire de vie scolaire à 600 euros mensuels !

Ils prétendent servir les intérêts de la France mais en réalité ils dissimulent leurs incompétences, leur absence d’analyses en profondeur, leur lâcheté face aux décisions à prendre, ainsi que leur cupidité de leur ego surdimensionné pour lequel les citoyens ne sont que des bulletins de vote.

La France va très mal. L’incompétence élevée à ce niveau et démoralisante. Tout ce qui a été fait sous Sarko est détruit, il est vrai que nombre d’aspects sont intolérable. Mais, la médiocratie en faisant les choix qu’elle fait : saigne les salaires les plus bas, soutien les escrocs bancaires dans leur absence de soutien à ceux qui veulent construire en privilégiant exclusivement les classes dites supérieures.

En effet, le pote François oriente la France en direction de l’augmentation, dissimulée et légitimée des privilèges pour toutes les classes dites supérieures et tous ceux qui font plus de 2000 euros mensuels. Les petits salaires, ceux qui se vendent pour que la France avance et se détruisent la santé sous les moqueries des imposteurs incapables le cul vissé sur leur fauteuil ne vont plus pouvoir que survivre.

Le pote François avec ses idéaux qui méprisent les citoyens, puisqu’il n’a toujours pas eu la décence de répondre aux courriers et aux questions mène avec ses illusionnistes la France vers les abîmes simplement pour satisfaire les doctrines idéologiques de prétendus intellectuels qui vérolent la mémoire collective de la France en prétendant la servir.

Sous Sarko le peuple n’avait pas grand-chose. Sous François le peuple aura encore moins. Là le changement c’est maintenant. Avant les citoyens avaient encore parfois la possibilité malgré des salaires d’esclaves, COMME CELUI D’UN ASSISTANT D’EDUCATION A 600 EUROS PAR MOIS, de pouvoir envisager un avenir.

Les orientations prises et imposées sont une démonstration par les faits d’une absence de courage pour effectuer les coupes là où les collectivités territoriales ont spolié la nation. L’imposture est tellement éclatante que les médias ne la perçoivent pas, normal la désagrégation de la nation sert leurs fonds de commerces et leurs doctrines.

Alors CITOYENS allez-vous tolérer d’être saignés pour que des personnes puissent vivre en toute quiétude sur votre dos ? Allez-vous admettre que des illusionnistes en touchent pas aux privilèges et s’en accordent d’autres encore plus scandaleux et intolérables ?

Il semble que oui ! Les médias font tout pour éviter que le peuple conscientise les réalités. Les politiques soutenus et orientés par les médias font tout pour que le peuple demeure dans l’ignorance. Le changement c’est maintenant, alors les médias et les politiques vont-ils avoir le courage de servir les citoyens ? J’en doute…

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26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 13:13

Les pornographes inondent les rayons des papeteries. Dans toutes les échoppes nous avons des mètres linéaires de revues pornographiques interdites au moins de 18 ans. Sur le Net se sont des flots permanents de sites qui assaillent de toutes parts.

Je me pose énormément de questions. La prostitution c’est vendre son corps contre rémunérations pour des pratiques sexuelles, pénétrations multiples et diverses, relations buccogénitales, le tout avec ou sans préservatifs, sans omettre toutes les activités de bondages et autres perversités de jeux sexuels.

Un film pornographique, une revue, un site pornographique, ne diffuse-t-il pas des images d’une forme de prostitution légale. Les hommes et les femmes aux performances des plus surprenantes ne sont-ils et elles pas des prostitués/es ? Ils et elles sont rémunérés/es pour des pratiques sexuelles de tous types avec toutes sortes de personnes. Il y a donc prostitution.

En effet, dès lors que des relations sexuelles s’effectuent contre rémunération il y a prostitution. Pourquoi la justice ne fait-elle pas son travail en sanctionnant les proxénètes qui exposent des films, des revues et des sites dans lesquels des hommes et des femmes mettent leurs corps à disposition contre rémunération pour des pratiques sexuelles de tout genre ?

C’est de la prostitution légale ! Les travailleurs du sexe des réseaux pornographiques sont des prostitués/es légales puisque personne n’a le courage de mettre en évidence que ces personnes travaillent ouvertement en vendant leur corps pour des activités sexuelles contre rémunérations.

Alors nos sociétés ont deux poids deux mesures. D’un coté les politiques couvrent les réseaux pornographiques où les filles sont des esclaves sexuelles en toute légalité, puisque se vendre pour faire un film au cours duquel ont se livre à des performances sexuelles est admis. Et de l’autre coté les filles qui font la même chose qui vendent leur corps contre rémunération pour des pratiques sexuelles.

Nous sommes en totale hypocrisie. L’imposture médiatico-communicationnelle fait son œuvre de désagrégation sociétale. Les médias soutiennent les réseaux pornographiques pour lesquels les filles ne sont que des poupées sexuelles, des objets, et s’acharnent contre la prostitution. Pourtant dans les deux cas les filles sont des objets sexuels. Elles se vendent pour de l’argent et expose leur corps au plus offrant. Ça c’est de la prostitution dans les deux cas !

Alors, François ! A quel moment la pornographie et la prostitution seront-elles mises sur le même autel ? A mon sens jamais car les réseaux pornographiques alimentent en filles les salles discrètes. Et tout le monde ignore volontairement, par lâcheté, et par confort que la pratique pornographique est un acte de prostitution. Ces acteurs payent des impôts ? Et oui !

Alors, la copine Najat à besoin de prendre sa verve politicienne et de faire légaliser la prostitution, et non les proxénètes. Le copain Ayrault à besoin d’avoir le courage de reconnaitre que la pornographie est de la prostitution ou qu’un de ses pavlovien démontre que ce n’est pas de la prostitution, mais là, c’est difficile car il y a pratique sexuelle contre rémunération.

Pornographie et prostitution ne servent pas les mêmes intérêts. Aujourd’hui pour limiter les abus de l’esclavagisme sexuel il est impératif que la prostitution soit mise au même rang que la pornographie. Là ce serait du changement !

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26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 08:06

La doctrine dominante d’une idéologie inertielle rétrograde est : le changement c’est maintenant ! Là se pose un énorme problème : l’incapacité au changement.

Le changement c’est pratiquer la praxéologie. C’est-à-dire avoir le courage de percevoir, d’observer, d’analyser et d’exposer les articulations, les mécanismes et les errances qui mènent aux dysfonctionnements auxquels notre société doit faire face à cause de la lâcheté des politiques.

Le changement c’est faire en sorte que dans les commissions si chères à François des personnes qui n’appartiennent pas aux réseaux, aux cercles et aux clientèles soient intégrées pour que des perspectives d’approches autres que celles du pavlonisme médiocratique de l’élite institutionnalisée puissent émerger.

Le changement c’est avoir le courage de mettre un terme immédiat et constitutionnel au cumul des mandats électifs afin qu’un député ne fasse que député, un sénateur que sénateur, un maire que maire. Sans omettre l’éradication immédiate de tous les postes des collectivités territoriales avec des présidents de ceci et de cela qui coûtent des fortunes.

Le changement c’est faire en sorte que Peillon sorte de la médiocratie instaurée dans l’éducation nationale pour que des individus qui n’ont fait que laisser leurs fesses sur les bancs de l’école, des classes prépa et des universités instruisent les élèves. C’est faire en sorte que des profils autres que des lustreurs enseignent aux élèves.

Le changement c’est avoir le courage de concevoir un projet de société dans lequel l’humanité, pour les ignorants pavloviens il y a quatre niveaux de l’humanité, est l’inquiétude principale et pour laquelle l’Etat réoriente les efforts d’investissements afin que les industries trop rares présentent sur le sol national puissent avoir du travail.

Le changement c’est faire en sorte que le pôle emploi exige et impose à ses employés de faire leur travail et de proposer des emplois en corrélation avec les profils. C’est d’imposer que les chercheurs d’emplois puissent avoir des formations qualifiantes. C’est d’imposer que les dossiers soient traités avec équité et non comme ils le sont en ce moment avec sectarisme.

Le changement c’est que le Président de la République réponde, fasse répondre, impose à ses services de répondre aux courriers des citoyens. C’est ne pas faire du Sarko dans les actes puisque sous Sarko les citoyens étaient méprisés. Le changement c’est de considérer les citoyens surtout s’ils n’appartiennent pas aux clientèles.

Le changement c’est d’imposer aux « responsables » en poste d’aller chercher des regards différents de ceux qui ne font que satisfaire au système et à ses errances démagogiques pour lesquelles le carriérisme est la seule finalité. Le changement c’est mettre un terme immédiat au logement gratuit pour les directeurs des hôpitaux trop nombreux pour faire le travail.

Le changement c’est d’avoir le courage de regarder la réalité en face. C’est avoir le courage d’accepter de s’être fourvoyé. C’est avoir le courage de mettre un terme aux recrutements consanguins. C’est avoir le courage de virer sans ménagement tous les politiques qui ont plus de 65 ans et de  légiférer pour que députés et sénateurs ne soient pas élus avant 40 et 45 ans. C’est avoir le courage que constitutionnellement il soit impossible de faire une carrière politique.

Le changement c’est de sortir du gargarisme médiocratique des prétendus intellectuels qui ont menés la France là où elle se trouve avec des universités pour les sciences humaines qui ne font que du blablatage avec l’incapacité à élever le débat, si ce n’est par du pavlonisme. Le changement c’est de supprimer le CNU. Le changement c’est d’évaluer les enseignants par un organisme indépendant. Le changement c’est de modifier les programmes et faire en sorte que la pédagogie soit pratiquée et non l’imposture didacticienne qui n’est qu’un fond de commerce des sciences dites de l’éducation.

Le changement c’est de voir un président faire autre chose que du sarkozysme en ayant la dignité de prendre en considération les citoyens et avoir le courage d’accepter qu’ailleurs, hors des cercles et des clientèles, il y a des personnes qui produisent.

Le changement c’est par exemple que les prétendus spécialistes des violences qui se gargarisent et blablatent dans les ministères lisent et mettent en œuvre les travaux sur les violences de Brun-Picard Yannick.

Le changement c’est concevoir une gestion de la prostitution et les travailleurs du sexe qui met les proxénètes en prison pour des années avec une justice qui sanctionne avec des peines planché dissuasives. C’est faire que tout responsable d’accident de la route avec un taux d’alcool supérieur à la norme soit poursuivi et jugé pour homicide volontaire, idem pour les excès de vitesse.

Tu rêves Charles ! Le changement c’est la continuité ! Comment des intellectualistes qui sont incapables de sortir des discontinuités pour entrer dans le concept de rupture/continuité peuvent-ils s’engager en direction du changement ? Impossible.

Le changement c’est dans ces conditions faire du Sarko par du François. Si c’est la réalité qui nous attend la France se précipite au fond du gouffre…

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 11:20

En France les seules personnes à pouvoir formuler des critiques sont les institutionnels, ceux qui appartiennent aux réseaux et aux clientèles. Tous les autres doivent faire silence.

L’ignorance quant à la finalité de la critique, surtout négative, est éclatante. Nous avons des définis intellectuels, qui ont l’outrecuidance de prétendre avoir lu dans la totalité Popper mais qui ignore que ce dernier, au-delà de la réfutation, de la falsification, mettait la critique en avant pour améliorer notre connaissance sur le monde des faits.

La critique c’est mettre en perspective de manière abrupte ce que les systèmes refusent de voir en ayant la prétention d’affirmer que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Elle met en évidence les facettes que notre lâcheté face aux réalités refuse de percevoir.

La critique, tout particulièrement d’instauration de machines à vent inutile, tant dans leurs destinations, leurs regroupements et leurs finalités, est indispensable surtout quand elle lève le voile sur des magouilles, des manipulations et de la propagande.

La critique même si elle projette du fiel à tout va contribue à conscientiser les dysfonctionnements de notre société, si nous acceptons d’ouvrir les yeux sur ce qu’il se passe et que nous avons le courage de constater par les faits que nous ne sommes que des pantins dans paroles des politiques et dans celles des médias.

La critique est ce qui peut éveiller les consciences pour s’extraire du culte du fric, du culte de l’image et du culte de l’illusion. Elle dévoile la perversité des mécanismes préservés par les organismes médiatico-communicationnels pour que le peuple n’agisse que sur leurs indications.

La critique est une alerte au sujet de perversions, d’abus de pouvoir et d’intolérance, le tout encadré sous l’égide de l’inquisition des biens pensants qui ne peuvent pas concevoir que l’on puisse réfléchir en dehors de leurs appartenances, de leurs réseaux et de leurs clientèles.

La critique c’est la seule chose qui reste au peuple saigné par la cupidité, la rapacité et l’abus de faiblesse. Elle est un rempart pour les générations futures auxquelles nous laissons un monde dans un état lamentable simplement parce que des écologistes vendent leurs idéaux pour des postes.

La critique est d’avoir le courage sans finesse de reconnaitre que nous sommes manipulés par des organismes pour lesquels le devenir de l’humanité n’est que détail puisque leurs conceptions mercantiles mènent le monde et la pensée du peuple.

La critique est une action citoyenne. En effet, elle est un devoir de ne pas avaler le blablatage de quelques illusionnistes qui ont construit leur ascension sur l’autel de l’illusion, du rêve et du changement pour maintenant alors qu’ils font pire que les prédécesseurs.

La critique est de montrer que les citoyens français ne sont pas que des décérébrés abrutis par les miasmes de la médiatisation. Elle est un héritage pour après demain afin que les jeunes sachent que des personnes avaient alerté les consciences pour mettre un terme aux illusions.

La critique en France est intolérable pour ceux qui sont en place. L’infaillibilité, la suffisance et l’appartenance ne conçoivent pas d’être critiquer, tout particulièrement lorsque les critiques démontrent les perversités, les manipulations et les gaspillages des fonds publics, juste pour servir des idéaux, des copains et des clientèles.

En 1936 la critique n’était pas tolérée… le résultat fut des plus sombres… !

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 15:09

Enterrer des problèmes il suffit de créer une commission et le tour est joué. Voilà, par l’exemple ce qu’il se passe en France. Toute la violence de la médiocratie politicienne s’expose par l’installation de cette commission qui ne fera que blablater.

La commission va-t-elle proposer de mettre un terme immédiat à tout cumul de mandat ? NON. Va-t-elle impose une hausse de l’âge minimum pour pouvoir être élu député et sénateur, à 40 ans ? NON. Va-t-elle faire en sorte d’instaurer des vraies commissions de contrôle ? NON.

Cette commission est de la poudre aux yeux. Elle ne fait que donner l’illusion. Elle va permettre pendant quatre mois à des hauts imposteurs en médiatico-communication de percevoir des indemnités pharaoniques pour faire du blablatage.

Cette commission ne proposera pas d’éradiquer le CNU. Elle ne proposera pas de modifier en profondeur les recrutements dans les universités pour mettre un terme immédiat au clientélisme, aux réseaux et autres manipulations qui ont mené la France, le système éducatif français là où il se trouve : en chute libre vers les abîmes.

Cette commission regroupe des animaux de l’appareil technocratique de tout ce qui met la France à genoux par suffisance, infaillibilité et médiocratie. Elle se gargarise de pavloviens qui n’ont pas le courage de regarder ce qui ne va pas en France et préfère se palucher sur des thèmes de pégreleux sans dimension, si ce n’est celle de leur ego et des auto-récompenses.

Cette commission ne touchera pas et ne proposera pas d’éradiquer tous les avantages existants pour les hauts fonctionnaires, pour les élus, de réduire leur nombre et de faire en sorte que la fonction publique soit au service des citoyens.

Cette commission ne fait et ne fera que donner l’illusion de prendre en considération le devenir de la société mais en faisant comme les imposteurs de la sociologie, soutenus par certains partis politiques, que proposer des pistes qui enfonceront un peu plus les citoyens dans les abîmes de la dépendance.

Cette commission n’a pas pour finalité le bien de citoyen. La seule finalité démontrée est faire en sorte de légitimé les nouvelles normes pour que les politiques de carrière, chose inacceptable, puissent s’en mettre encore plus dans les poches en toute impunité.

Cette commission n’a fait que regrouper des lustreurs du système qui n’ont fait que satisfaire à la norme du ce dernier sans faire de vague pour parvenir aux plus hauts distinctions en écrasant tout ce qui fait la différence et la diversité mais en usant et abusant de ces termes au détriment du devenir de la nation.

Cette commission n’est qu’une imposture supplémentaire dans laquelle le mépris pour les citoyens est éclatant. Elle n’a pour objectif que de faire en sorte de préserver les privilèges des politiques. Ils l’ont instauré maintenant car le changement pour la spoliation de la nation doit se faire dans les délais les plus courts.

Cette commission est comme toutes celles qui ont été constituées : qu’un regroupement manipulateur pour donner l’illusion et distribuer quelques honneurs et privilèges et faire des redevables devant les organismes médiatico-communicationnels.

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