La France craque de partout. La prétendue industrie s’effondre, les structures sociétales se désagrègent et nos références institutionnelles sont dissolues dans l’illusionnisme à courte vue qui n’a pour finalité que de préserver les clientèles du pouvoir.
La négation du territoire devient si aveuglante, prégnante et envahissante qu’aujourd’hui les incapacités, les insuffisances et le pavlonisme des prétendus élites de la France nous mettent dans le mur. Nous avons des énarquiens pavloviens qui sont partout et qui pratiquent la négation du territoire.
La négation du territoire se vérifie par l’implantation, la volonté d’implantation de ligne TGV qui ne sont que des impostures technocratiques et mercantiles qui ont pour objectif de drainer dans des puits sans fond l’argent de la nation au profit de quelques bénéficiaires en toute légalité.
La négation du territoire se vérifie dans les établissements scolaires où l’enseignement de l’histoire et de la géographie quand il est pratiqué de manière acceptable ne ramène pas les élèves à la notion de territoire et moins encore à celle d’interface humanité/espaces terrestres afin de leur permettre de comprendre le monde en construction.
La négation du territoire fut théorisée par Brun-Picard Yannick. Il s’est fait étrillé par les universitaires qui sont parvenus à enterrer ses articles sur ce thème, cela fait déjà 6 ans. Il y démontrait comment les technocrates soutenus par les investisseurs manipulent les conceptions pour faire du fric.
La négation du territoire est éclatante quand on regarde les prostituées s’approprier des parcelles sans que les forces de l’ordre n’agissent ou ne fassent le minimum syndical pour empêcher qu’elles ne tapinent devant les arrêts de car où les écoliers attendent leur moyen de transport.
La négation du territoire se vérifie dans l’incompétence de gestion territoriale mais dans le gargarisme, l’emploi à toutes les sauces du terme territoire sans lui donner une seule fois la teneur, sa définition et ses dimensions, car pour les politiques ce ne sont que des mots qui servent des idéaux.
La négation du territoire est éclatante quand on voit que dans les universités françaises les universitaires, éclats de rires, n’ont même pas la dignité d’aborder la notion dans sa complexité. En effet il faudrait faire autre chose que des idéaux et des croyances dans des développements médiocratiques de méthodologies dogmatiques.
La négation du territoire est démontrée quand les imposteurs politiciens agrègent des territoires locaux sans affirmer et concevoir le territoire national pour aire de développements, de dynamiques et de potentialités interterritoriales d’une mosaïque de territoires locaux.
La négation du territoire est attestée quand Peillon le ministre de l’éducation nationale est incapable de concevoir, ses conseillers pavloviens en sont partiellement responsables, que dans les écoles des territoires de violences existent et que les illusionnistes en poste ne sont pas en mesure de les percevoir aveuglés par leurs croyances et leurs idéologies.
La négation du territoire est physique quand nous constatons que tout est drainé vers un parisianisme à courte vue afin de servir les investisseurs au détriment du peuple. La cupidité, la suffisance et l’ego surdimensionné des élus contribuent largement à la négation du territoire simplement pour faire du fric.
La négation du territoire est devenue une normalité conceptuelle et organisationnelle validée par l’énarquisme à courte vue et par la technocratie rétrograde d’une inertie pavlovienne. Tous parlent de territoire mais n’agissent pas pour le territoire. Ils focalisent sur une parcelle et justifient leurs errances et la perversion de leurs solutions par l’action sur le territoire.
La négation du territoire est là, nous la vivons, puisqu’à l’école la géographie n’a plus de place. La notion n’est qu’un constituant de spécialités qui par imposture universitaire sont élevées au rang de science pour servir les clientèles et les idéaux.
Tant que les prétendus responsables ne seront pas capables de concevoir le territoire la désagrégation se poursuivra. Hélas cela n’est pas enseigner dans les structures pavloviennes des brillantissimes technocrates ou l’ignorance de la diversité et de la différence est devenue la norme.
Nous vivons l’inquisition sous sa forme évoluée puisque les politiques cautionnent de telles errances construites par des universitaires trop lâches pour accepter qu’ils se sont fourvoyés et qu’ils ne font que du vent tout particulièrement dans les sciences humaines.
Là est une autre forme de négation du territoire : celle de la production cognitive et scientifique…