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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 08:53

La France craque de partout. La prétendue industrie s’effondre, les structures sociétales se désagrègent et nos références institutionnelles sont dissolues dans l’illusionnisme à courte vue qui n’a pour finalité que de préserver les clientèles du pouvoir.

La négation du territoire devient si aveuglante, prégnante et envahissante qu’aujourd’hui les incapacités, les insuffisances et le pavlonisme des prétendus élites de la France nous mettent dans le mur. Nous avons des énarquiens pavloviens qui sont partout et qui pratiquent la négation du territoire.

La négation du territoire se vérifie par l’implantation, la volonté d’implantation de ligne TGV qui ne sont que des impostures technocratiques et mercantiles qui ont pour objectif de drainer dans des puits sans fond l’argent de la nation au profit de quelques bénéficiaires en toute légalité.

La négation du territoire se vérifie dans les établissements scolaires où l’enseignement de l’histoire et de la géographie quand il est pratiqué de manière acceptable ne ramène pas les élèves à la notion de territoire et moins encore à celle d’interface humanité/espaces terrestres afin de leur permettre de comprendre le monde en construction.

La négation du territoire fut théorisée par Brun-Picard Yannick. Il s’est fait étrillé par les universitaires qui sont parvenus à enterrer ses articles sur ce thème, cela fait déjà 6 ans. Il y démontrait comment les technocrates soutenus par les investisseurs manipulent les conceptions pour faire du fric.

La négation du territoire est éclatante quand on regarde les prostituées s’approprier des parcelles sans que les forces de l’ordre n’agissent ou ne fassent le minimum syndical pour empêcher qu’elles ne tapinent devant les arrêts de car où les écoliers attendent leur moyen de transport.

La négation du territoire se vérifie dans l’incompétence de gestion territoriale mais dans le gargarisme, l’emploi à toutes les sauces du terme territoire sans lui donner une seule fois la teneur, sa définition et ses dimensions, car pour les politiques ce ne sont que des mots qui servent des idéaux.

La négation du territoire est éclatante quand on voit que dans les universités françaises les universitaires, éclats de rires, n’ont même pas la dignité d’aborder la notion dans sa complexité. En effet il faudrait faire autre chose que des idéaux et des croyances dans des développements médiocratiques de méthodologies dogmatiques.

La négation du territoire est démontrée quand les imposteurs politiciens agrègent des territoires locaux sans affirmer et concevoir le territoire national pour aire de développements, de dynamiques et de potentialités interterritoriales d’une mosaïque de territoires locaux.

La négation du territoire est attestée quand Peillon le ministre de l’éducation nationale est incapable de concevoir, ses conseillers pavloviens en sont partiellement responsables, que dans les écoles des territoires de violences existent et que les illusionnistes en poste ne sont pas en mesure de les percevoir aveuglés par leurs croyances et leurs idéologies.

La négation du territoire est physique quand nous constatons que tout est drainé vers un parisianisme à courte vue afin de servir les investisseurs au détriment du peuple. La cupidité, la suffisance et l’ego surdimensionné des élus contribuent largement à la négation du territoire simplement pour faire du fric.

La négation du territoire est devenue une normalité conceptuelle et organisationnelle validée par l’énarquisme à courte vue et par la technocratie rétrograde d’une inertie pavlovienne. Tous parlent de territoire mais n’agissent pas pour le territoire. Ils focalisent sur une parcelle et justifient leurs errances et la perversion de leurs solutions par l’action sur le territoire.

La négation du territoire est là, nous la vivons, puisqu’à l’école la géographie n’a plus de place. La notion n’est qu’un constituant de spécialités qui par imposture universitaire sont élevées au rang de science pour servir les clientèles et les idéaux.

Tant que les prétendus responsables ne seront pas capables de concevoir le territoire la désagrégation se poursuivra. Hélas cela n’est pas enseigner dans les structures pavloviennes des brillantissimes technocrates ou l’ignorance de la diversité et de la différence est devenue la norme.

Nous vivons l’inquisition sous sa forme évoluée puisque les politiques cautionnent de telles errances construites par des universitaires trop lâches pour accepter qu’ils se sont fourvoyés et qu’ils ne font que du vent tout particulièrement dans les sciences humaines.

Là est une autre forme de négation du territoire : celle de la production cognitive et scientifique…

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11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 08:18

Que dire de plus que : « Quelle souplesse ! » ? Cela ne fait pas trois mois que les nouveaux locataires du pouvoir de la gamelle sont installés que déjà nous avons la démonstration par la pratique de toute la souplesse de l’illusionnisme.

Cette souplesse est intellectuelle. Sous le principe de ne pas employer certains mots ont fait croire aux français que la rigueur n’est pas là. On fait croire au peuple que les seules options viables sont celles qui vont faire payer les salaires moyens et préserver les autres.

Souplesse de l’illusionnisme car la présidence fait du Sarko dans les actes. Elle ne répond pas aux questions des citoyens. Est-ce admissible de voir des personnes qui prétendent faire leur travail mais choisissent les tâches les moins salissantes pour faire croire qu’elles œuvrent pour la nation ?

Souplesse de l’imposture qui focalise les thèmes de réflexion sur des domaines pour lesquels il n’y a pas de prise et pour lesquels aucune action courageuse ne sera entreprise car il faudrait mettre devant leurs incompétences les pavloviens produits du mérycisme de l’énarquisme rampant.

Souplesse de la dissimulation des réalités sous la manipulation médiatico-communicationnelle si néfaste aux devenir des sociétés, qui inscrit les réactions et les gestions dans l’immédiateté d’une inertie négative pour laquelle seule l’image de l’instant prime sur le devenir.

Souplesse au regard des engagements. Où est la protection des travailleurs pauvres ? Nulle part. Ils vont payer un max. La multitude, phagocytée par l’imposture produite par les syndicats qui n’agissent plus depuis des décennies pour les travailleurs mais pour leur gamelle, va subir de plein fouet cette doctrine où les politiques disent tout et son contraire.

Souplesse quant aux engagements pour l’emploi. Nous voyons que dans l’éducation les auxiliaires de vie scolaire qui ont déjà quatre années de contrat seront peut-être reconduits mais est-ce légal que des employés de l’Etat soient en CDD et en grande précarité à mi-temps simplement du fait de l’incompétence de gestion d’imposteurs ?

Souplesse sur la prostitution, Najat n’a pas lu les travaux de Brun-Picard Yannick sur ce thème, tu m’étonnes il faudrait admettre que ceux qui ne sont pas dans les cercles, les réseaux et les clientèles puissent avoir un cerveau. Ce qui fait que ce n’est que de l’illusion pour focaliser l’attention et dissimuler la misère des incompétences à concevoir le monde d’après demain.

Souplesse sur la lâcheté démontrée pour mettre un terme immédiat au cumul des mandats, à l’intolérable situation qui fait que la politique est un métier. Lâcheté devant l’obligation de mettre l’âge minimum pour être éligible député, sénateur et nommé ministre à 40 ans, et âge maximum d’élection à 65 ans.

Souplesse dans l’illusionnisme des décisions, des projets irréalisables pour l’éducation nationale où personne ne veut, n’a les capacités de regarder en face ce qui ne fonctionne pas et ne fait que faire comme les médiocrates dans les universités se gargariser sur ce qui fonctionne.

Souplesse quant à l’absence de décisions fortes comme sous Sarko où les seules orientations prises avaient pour finalités de servir ses cercles et ses clientèles en toute discrétion. Aujourd’hui nous vivons la même chose, les blablateurs et blablateuses n’ont pas le courage d’aller chercher ailleurs pour répondre aux maux auxquels l’Etat à le devoir de répondre.

Souplesse quant aux responsabilités réelles, aux sanctions pour incompétences dans tous les domaines du recrutement des fonctionnaires qui ne répond plus aux normes d’efficience, mais ne fait que justifier l’existence de boites à pavlonisme médiocratique, qu’il faut éradiquer.

Souplesse quant à la considération pour les citoyens puisque la présidence ne répond pas aux questions posées sur site de la présidence !

Souplesse enfin, de notre part pour la tolérance à ces impostures portées par Peillon, Najat, Marisol et leur copain Ayrault… Le pire est à venir tout en souplesse… !

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 07:53

Le gouvernement veut sauver le modèle social, à défaut d’avoir le courage de préserver une conception sociétale. Oui, le modèle social français est malade.

Le modèle social est gangréné car les politiques n’ont pas le courage de regarder la réalité en face et d’analyser ce qui plombe les comptes. Il est vérolé car des structures se gavent sur le dos des fonds de financements. Il est déstructuré car des idéologues de fond de cuvette confondent l’humanitaire et la consolidation sociétale.

Le modèle social sursaturé de l’idéologie de tout le monde il est beau tout le monde est gentil est orienté au détriment des citoyens. Les citoyens ne peuvent plus avoir accès aux soins ainsi qu’aux avantages sociaux qui sont phagocytés, pompés, par des démarches qui vident les caisses.

Le modèle social français en a rien à faire des citoyens de base de ceux qui font la France, de ceux qui s’arrachent pour à peine le smic, pour ceux qui voient que de nombreuses personnes abusent, en tout impunité, des perversion du système social, qui n’a plus la finalité d’être un ciment sociétal.

Le modèle social français est devenu un moyen de se faire élire, de préserver les spéculateurs des soins médicaux et autres cliniques privés. En faisant de la médecine un commerce, un outil de spéculation et de mercantilisme de cupidité, les politiques sont les premiers responsables de la dégénérescence que nous vivons depuis trop longtemps.

Le modèle social français n’est qu’un outil électoraliste que l’ignorance des réalités à transformé en une pompe à fric pour des médecins et autres organismes qui alimentent des réseaux qui vident les caisses alors que les agriculteurs à la retraite vivent dans un dénuement proche du tiers monde.

Le modèle social est une illusion qui fait croire aux français que la société française peut, à les moyens, de prendre soin des citoyens et en même temps, trop souvent au détriment des citoyens, toute la misère du monde.

Le modèle social françaispratiqué par des médiocrates pavloviens oublie que ses agissants ont le devoir de servir les citoyens et ensuite accueillir dans la mesure du possible ceux qui en ont besoin. Il ne doit pas devenir l’hôpital de la Méditerranée où la multitude vient accoucher, se faire soigner et avoir des revenus supérieurs à ceux qui travaillent et sont des travailleurs pauvres.

Le modèle social français exige que les illusionnistes en place aient le courage d’analyser les causes de la situation et de mettre en exergue ce qui est nuisible pour répondre à ces aspects négatifs et non, comme ils le font en ce moment se gargariser de ce qui fonctionne de manière acceptable.

Le modèle social français est à bout de souffle car les sources de financement sont calibrées pour les citoyens et non pour la multitude qui abusent des idéaux de la révolution. La France n’a pas, n’a plus les moyens des idéaux humanistes, ou alors il lui faut s’armer pour mettre un terme immédiat aux magouilles qui vident les caisses.

Le modèle social français, sclérosé par les conceptions médiocratiques, électoralistes, mercantiles et clientélistes, est orienté à la seule satisfaction de ceux qui en bénéficient et oublie les citoyens qui n’ont aucune aide car ils travaillent.

Le modèle social français ne peut plus souffrir de voir des illusionnistes du blablatage dilapider les ressources disponibles dans des gouffres qui font que les fonds partent pour d’autres destinations que le territoire national. Il doit se fixer sur les populations qui souffrent et non sur celles qui viennent ici parce qu’elles ont plus de droit que les nationaux.

Le modèle social français, orienté comme il l’est, détruit le ciment sociétal car les politiques, les manipulateurs médiatiques, ont vendu l’humanisme français sur l’autel de la cupidité et de l’électoralisme sans préserver les citoyens dans une grande précarité. Il est vrai que prendre les citoyens pour référence n’est pas vendeur.

Le modèle social français par l’ignorance de ses responsables n’est plus capable de soutenir les citoyens, c’est la première étape de la désagrégation sociétale. L’ignorance médiatico-communicationnelle pratiquée par les manipulateurs, sous l’égide d’idéaux inertiels, mène la France au fond des abîmes.

Jamais les institutionnels n’auront le couragede croiser les fichiers, de vérifier les cartes vital, de contrôler les niveaux de vie, de faire leur boulot : ce n’est pas politiquement correct. Pendant ce temps le modèle social français est vendu aux prédateurs.

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 08:01

Tout va bien ! Les Français sont dans le rêve, l’illusion et en pleine séance de prestidigitation. Pas de soucis, pas d’inquiétudes, les cercles, les réseaux et les clientèles seront préservés.

L’école devrait être refondée. Grand bien lui fasse. Mais le gargarisme intellectualiste qui se déroule en ce moment ne fait que regrouper des personnes formatées, dépendantes et orientées en direction d’idéologies pour lesquelles ce qui se passe dans l’enseignement est normal. Comme par exemple des enseignants qui chaque jour démontrent leurs incompétences pédagogiques mais étale leur suffisance didacticienne.

Les impôts, avec les nouvelles hausses, vont saigner les ménages aux faibles revenus qui payent des impôts sans égratigner les hauts revenus. Les manipulations comptables vont faire que la multitude va se trouver dans une situation lamentable.

La prostitution, une proposition veut l’abolir mais personne ne prend conscience des réalités. Il est vrai que pour conscientiser il faut parvenir à une pratique de la praxéologie. Elle n’est pas enseignée dans les universités car la médiocratie intellectualiste est incapable de sortir du pavlonisme et de la réflexivité.

L’industrie et les entreprises, devraient être soutenues. Tout ce qui se passe en ce moment atteste que la France se tourne vers des services, des illusions et la perte inexorable des richesses produites par le travail de haute valeur ajoutée.

Les universités, la suffisance est tellement prégnante que la restructuration en profondeur des réseaux de clientélismes, des appartenances et des impostures n’est même pas envisagée. Il pratique l’illusion de la prise en considération des réalités. Les programmes ne sont même pas modifiés pour répondre aux marchés, tu m’étonnes Charles il faudrait que les imposteurs se mettent au travail !

Le cumul des mandats ne sera pas toucher. Les démagogues veulent cumuler et se gaver alors qu’ils doivent être au service de la nation et non de leurs intérêts égocentriques. Jamais les lâches n’auront le courage de mettre une limite d’âge inférieur à 40 ans pour les mandats nationaux et 65 ans pour limite supérieure, avec au maximum 4 mandats.

La France et sa constitution, sont foulées aux pieds comme avec les prédécesseurs qui n’ont fait que servir leurs clientèles. Nous sommes dans un système constitutionnel établi pour servir une forme de pouvoir avec des conjonctures sociétales particulières. Aujourd’hui les politiques ont le devoir de modifier la constitution pour faire avancer la nation.

Le système de santé, vérolé par la cupidité, le scandale du numérus closus qui produit 80% de médecins qui conçoivent leur pratique comme une activité mercantile et la santé des citoyens elle aussi est rangée dans la case mercantiliste. L’hôpital public où nous avons des directeurs à la pelle qui ne payent pas de loyer, d’eau et d’électricité constituent un gouffre économique qu’il faut éradiquer immédiatement.

La fonction publique est gangrénée par les dites grandes écoles qui produisent des blablateurs qui ne connaissent rien au travail de base et se gargarisent de théories et autres réunionites sans gain d’efficacité si ce n’est pour leur carrière et leur confort. Jamais les politiques n’auront le courage de faire en sorte qu’une pyramide réelle soit instaurée dans la fonction publique, que les nominations soient faites que lorsque le poste est libre.

La France est orientée vers le refus de percevoir les réalités. La France est sclérosée par les clientèles et la médiocratie dissimulées sous le brillantissime pavlonisme des dites grandes écoles, qui si elles étaient efficaces devraient produire des solutions pour une existence meilleure pour la multitude. La France est vérolée par la classe politique qui n’a pour objectif que servir ses intérêts dans l’immédiateté politicienne au détriment du devenir de la nation et de l’intérêt des citoyens.

La France produit de l’illusion sans avoir la capacité de s’extraire de l’intellectualisme car il faudrait que les imposteurs daignent considérer les autres et non agir exclusivement pour leur nombril. La France est désagrégée par les actions de Peillon sa copine Najat ou son pote Ayrault sans omettre François qui préfèrent demeurer dans l’illusion que de mettre les mains dedans et d’avoir le courage d’aller chercher des esprits qui mettraient un terme à ces impostures.

La France avance vers l’abîme… tout va bien !

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 18:54

Du grand art que cette fuite en avant. La situation de la France était connue bien avant les élections. Il est vrai que le désastre n’était pas acté, mais arriver où nous en sommes et atterrant.

Nous venons d’avoir le discours de politique générale qui nous a servi les mêmes illusions que lors de la campagne électorale. Nous n’avançons pas. Nous demeurons dans les miasmes et la préservation d’un système inertiel.

Une preuve : les services de la présidence n’ont toujours pas daignés, à l’image de ce qui firent ceux du prédécesseur, répondre aux questions posées. Est-ce tolérable ? Est-il admissible que les services de la Présidence, qui ont le devoir de répondre aux citoyens ne le fassent pas ? NON, NON et NON.

Il est probable que nombre de croyants ne puissent pas tolérer que des citoyens exigent que les services de la nation fassent leur travail et qu’ils servent les citoyens en prétendant que ces derniers doivent exécuter les directives du président… vive le gargarisme !

Au regard de ce qui se passe nous avons les mêmes genres d’acteurs qui servent leurs clientèles, leurs réseaux et leurs cercles de pouvoir et d’influence. Un tel déni de la Nation, un tel mépris des citoyens, une telle ignorance des devoirs des services, n’est que le reflet de ce qui s’est pratiqué juste avant.

Allons nous devoir vivre à nouveau cinq années de mépris, d’ignorance et d’absence de considération pour les citoyens parce que ces derniers dérangent la normalité normalisante du pavlonisme énarquien ? Il est très probable que oui.

Alors, il est temps que le président vaque à ses obligations de servir les citoyens, ceux qui lui mettent le nez dedans en lui montrant les errances, les scandales et les incohérences de ce qu’il cautionne. Il est temps de ne plus faire du Sarko dans les actes !

Pour ce qui est de Ayrault et de Peillon, même pas la peine d’en parler. Ils ignorent totalement les messages, les questions et les attentes de ceux qui ne sont pas de leurs clientèles, de leurs réseaux de lustreurs ou imposteurs médiatiques.

Ce n’est que de la fuite en avant rien de plus l’arrogance, la suffisance et l’infaillibilité furent les mamelles du sarkozysme, il est probable qu’elles deviennent celles du hollandisme…

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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 07:56

Lutter contre la prostitution est un effet d’annonce. Car une lutte contre cette perversion de notre humanité implique que des femmes et des hommes qui louent leur corps pour des pratiques sexuelles s’enfoncent un peu plus dans la précarité et la dangerosité.

La prostitution quelque soit sa forme : visible dans les rues, les bois, sur les routes nationales, sur les parkings, devant les ensembles sportifs ou encore dans les lieux de consommation d’alcool, ne peut pas être endiguée, car d’autres formes existent comme les femmes et les hommes qui cèdent aux avancent de leurs supérieurs pour obtenir un poste : cela est de la prostitution.

La prostitution est le nouveau vecteur médiatique employé par Najat pour affirmer son rôle, sa place, sa légitimité et ses potentialités sur la scène politique ou plus justement et réellement sur la scène médiatico-politicienne.

La prostitution peut être encadrée. Toutes les prostituées devant être déclarées. Attribution d’une carte d’exercice de la prostitution avec photos, puce et suivi médical. Avec la localisation du lieu d’exercice l’appartenance à une structure collective ou en individuel.

La prostituée payera un montant minimum d’impôts de 3000 euros annuel, avec l’obligation de cotisation retraite, et autres cotisations sociales. Ainsi elle sera un travailleur comme les autres, seule différence elle vend son sexe et des services sexuels. Comparé à ceux et celles qui se vendent en écrasant les autres pour obtenir un poste, des questions s’élèvent sur l’intégrité.

Toute prostituée sans carte d’exercice sera jugée avec une peine planché trois ans fermes pour pratique illégale de la prostitution. Non règlement des impôts minimums : deux ans fermes. Tout souteneur et autre maquereau non déclaré cinq ans fermes. Ce qui met les peines planché en avant.

Les prostituées seraient surveillées, contrôlées, sur leur niveau de vie, leur lieu de pratique. Cela signifie que le législateur sera dans l’obligation d’armer police, gendarmerie et inspecteurs du travail pour qu’ils fassent respecter la loi.

Les réseaux ne pouvant avoir de filles avec des cartes d’exercices seraient en très mauvaise posture surtout si, enfin, les acteurs sociétaux prennent le courage de lutter contre cette forme de prostitution. Pour ce qui est de la prostitution de luxe même combat sans aucune pitié pour les réseaux, les souteneurs et les politiques qui cautionnent ces perversités.

Alors Najat, il suffit d’avoir le courage de le faire, de cesser de se dissimuler sous la médiocratie des bien-pensants et autres imposteurs politiciens, pour agir et imposer une réforme qui fera rentrer des euros dans les caisses de l’Etat et fera le vide dans les zones où les filles sont en esclavagisme sexuel.

La prostitution, pour son encadrement réclame, exige, impose que ce ne soit pas des imposteurs des écoles pavloviennes qui gèrent les miasmes. La lutte contre des fléaux impose que des personnes qui ne sont pas des animaux d’appareil soient recrutées. Mais, Najat est un animal d’appareil au regard de son parcours… ça ne sera que du vent médiatico-politicien.

Prendre en compte la prostitution ne se fait pas par le prisme de l’imposture intellectuelle pratiqué par de trop nombreux universitaires enfermés dans leurs croyances et leur misérabilisme. La prostitution exige que l’on regarde en face le phénomène et que l’on accepte de la conscientiser dans ses réalités.

Najat, je doute fermement que le courage de lutter de cette manière qui mettrait du contrôle, de la gestion, des lois et affirmerait la place du législateur soit une orientation concevable pour ceux qui prétendent avoir des responsabilités mais ne sont jamais responsables des maux qu’ils ont causés.

L’ébauche d’encadrement de la prostitutionavec des cartes d’exercice de la prostitution est lancée. S’engager dans cette direction réclame du courage, de la pugnacité et de la persévérance, et non de l’illusion politicienne des arrangements et des clientèles politiciennes.

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22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 16:13

L’Euro bat son plein et depuis plus personne ne parle du fléau de la prostitution dans les pays de l’Est et sur les réalités de l’esclavagisme sexuel et des violences sexuelles dans les pays concernés.

La prostitution semble avoir disparu des écrans. Les médias ne disent plus un mot sur la présence parfois plus que dérangeante de jolies jeunes femmes très découvertes qui se vendent pour quelques poignées d’euros aux abords des stades.

La prostitution sur les parkings des espaces sportifs à déjà été mise en exergue et ses dynamiques ont déjà été démontrées par Brun-Picard Yannick dans une recherche, non publiée car des plus dérangeantes, sur le thème des prostitutions urbaines et celles se déroulant dans l’interface ruralité/urbanité.

La prostitution rendue accessible par la lecture de quelques lignes des différents articles de Brun-Picard Yannick sur ce thème semble au regard des informations disponibles et diffusées par les médias comme une rêverie, voire même comme une illusion. Ainsi il n’y a plus de prostituées près des stades.

La prostitution sur les bords des routes dans le Var semble aussi ne plus exister. Pourtant un article récent, dans les journaux locaux, met en évidence que le nombre de prostituées n’a de cesse d’augmenter aux portes des grandes agglomérations surtout Paris.

La prostitution devient une normalité comportementale. En effet, en observant les jeunes élèves devant les collèges et les lycées il est donné à tout observateur de constater que ces jeunes filles ont des tenues si échancrées qu’elles dévoilent leurs formes naissantes sans que cela gène qui que ce soit.

La prostitution devient une seconde nature sociétale. Nous admettons que les femmes vendent leur image, leurs formes voire, leurs services et leurs disponibilités pour des carrières, des arrangements et autres clientélismes à rendement immédiat.

La prostitution devient si discrète que sa présence est une norme sociétale. La discrétion réside dans sa normalisation d’attitudes, de comportements et de considération des femmes ou du moins de celles qui acceptent de s’exposer, se vendre ou se rendre disponibles pour des activités à obligations sexuelles.

La prostitution demeure pourtant une violence faite aux femmes et aux prostitués en général. En effet, le corps est vendu pour qu’autrui assouvisse une pulsion, un besoin, ou simplement une envie de nature sexuelle. Nombre de prostituées disent qu’elles l’acceptent et que cela n’est pas de la violence.

La prostitution est se soumettre au dictat de l’argent en acceptant de se livrer à des pratiques sexuelles. C’est une violence. Dès que l’on se soumet à une activité que l’on ne ferait pas de sa propre initiative il y a acte de violence. Dans ce cas tout est violence et limitation de liberté. Quelque part OUI. Toutefois ses violences canalisent nos sociétés.

La prostitution pour sa part draine les femmes en direction d’activités de soumission pour que certains se vident au propre et au figuré. Malgré cela les médias dans leurs démarches médiocratiques dépendantes à l’Euro de foot, ce qui démontre l’ampleur de la propagande footballistique, qui fait de tout citoyen un décérébré vissé à cette négation de l’intelligence, est bien réelle.

La prostitution et les maux qu’elle engendre pour les filles qui sont écrasées par des réseaux de proxénètes, de maquereaux, des pays de l’Est, ne pèse pas grand-chose devant la désagrégation footballistique. On s’en fout que des gamines deviennent des terrains de jeux sexuels pour pervers tant que le foot passe à la télé.

La prostitution est devenue si présente que quelque part nous sommes des prostituées puisque nous vendons notre âme au confort illusoire de la démagogie médiatique et que nous subissons la violence de sa médiocratie qui nivelle la pensée et la réflexion sur les réalités…

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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 12:56

La normalité, la présidence normale, le Président normal, donnent à voir dans les actes du Sarko dans toutes les négations qui ont été faites.

La normalité du mépris des citoyens est bien là. Les services de la Présidence ne répondent pas aux courriers des citoyens, tout comme sous l’ère sarkozyenne. Aucune considération pour ceux qui n’appartiennent pas aux réseaux et autres cercles.

La normalité est cette incompétence criante qui fait qu’ils sont incapables d’aller chercher des personnes non-formatées, non-pavloviennes, hors des clientèles. Comme Sarko ils mettent en place leurs copains et autres lustreurs.

La normalité est l’absence de conscience de la réalité des la vie que tente  de mener les citoyens qui doivent se plier aux règles de la loi, alors que les copains du pouvoir eux peuvent pratiquer l’évasion fiscale et justifier cela en optimisation d’investissements.

La normalité est la lâcheté devant les décisions à prendre, comme sous Sarko, tant que ça ne touche pas les cercles d’influence ça le fait en revanche quand ça arrive à limer quelques privilèges et autres avantages aux castes énarquiennes et pavloviennes, là plus rien.

La normalité est le refus de mettre un terme à toutes les errances du système éducatif français afin que seuls les établissements du cursus continus à produire les pavloviens, qui sont si brillants que la France et surtout les français, doivent payer leurs inaptitude à faire autre chose que du mérycisme.

La normalité est là, la vie privée vient pourrir la vie publique qui n’a pas besoin de cela tellement qu’elle racle le fond de la cuvette. Elle met en évidence les luttes de pouvoirs, les bassesses et l’absence de confiance dans les gens du même bord.

La normalité sera donc dans cette pratique du Sarko dans les actes un retour, une préservation, du mode de fonctionnement de l’administration française, des représentants des citoyens, du même genre que celui qui a fait mettre à la France un second genou en terre.

La normalité prétendument pratiquée par le pouvoir est en réalité du sarkozysme éclatante dans lequel les réseaux, les cercles et les clientèles sont servis, et vont être gavés sur le dos des citoyens. Celle-ci démontrera l’incompétence à regarder ailleurs que dans ses obligés pour faire du vent.

La normalité de la pratique sarkozyenne du l’exercice du pouvoir se met en place car il faut que ces gens préservent leurs rangs, statuts, privilèges et autres clientèles afin de briller au détriment de la France et en écrasant les citoyens.

La normalité est donc là ! Mépris des citoyens en refusant de répondre aux courriers. Mépris de la différence par ignorance des réalités et enfermement dogmatique sur des prétendues élites pavloviennes. Mépris de la France dans sa globalité par préservation des privilèges, suffisance et infaillibilité à l’encontre de tous ceux qui n’appartiennent pas.

Du Sarko dans les actes. La normalité est bien là. Le pire est à venir.

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16 juin 2012 6 16 /06 /juin /2012 07:48

Après la bravitude si éclatante et démonstrative nous avons la victimitude. Il faut dire que ce néologisme est parfaitement adapté à la situation pour laquelle il a été élaboré à La Rochelle.

La victimitde est de faire en sorte de se poser en victime bien que l’on soit l’intervenant, le responsable, l’ordonnateur, le gestionnaire ou ne serait-ce que l’élu qui a pris la décision si néfaste pour les citoyens et qui en outre préserve les intérêts de la castes le plus souvent politicienne et énarquienne.

La victimitude est se positionnement qui fait que nous avons des citoyens qui obtiennent des aides, des avantages et des privilèges simplement par le soutien des médias sans se soucier de ce qui se passe et d’où vont ces flots financiers qui le plus souvent irriguent des réseaux de délinquances.

La victimitude est cette faculté de faire en sorte que le rôle joué soit minimisé, voire totalement effacé afin que seuls les adversaires deviennent responsables des catastrophes que l’incompétence a engendrées.

La victimitude vertu énarquienne qui maintenant devient l’hyper-normalité dans les appareils de l’Etat français puisqu’ils sont en force et qu’ils verrouillent tout, alors que la situation de la France démontre par les faits, la réalité, leurs incompétences et leurs incapacités à faire autre chose que servir les intérêts de castes, de réseaux et de clientèles, est une gangrène qui ronge la France.

La victimitude est cette image d’une candidate au bord des larmes qui pose devant une affiche de son adversaire de moment, collée sur sa porte, qui fait qu’elle se pose en victime d’un harcèlement intolérable alors que son mépris pour tout ce qui n’est pas à ses escarpins fait qu’aucun subvention parvient aux communes d’une autre obédience politique.

La victimitude est ce qui a fait élire le nouveau président qui nous propose du rêve, de nous faire rêver, mais qui pour l’heure fait du Sarko dans les actes, puisque comme lui, il n’a pas la dignité de faire répondre par ses services aux citoyens qui lui posent des questions.

La victimitude est alors mon positionnement puisque je suis victime du mépris de ceux qui par leur position ont le devoir de servir les citoyens…

La victimitude est cette faculté à déverser les problèmes, les errances, et les inaptitudes sur le dos des autres sans se sentir concerné tout en faisant croire que seul, moi, fait ce qu’il faut pour la France. Ainsi, nous avons des élus victime de la situation qui sont dans l’inertie rétrograde et refusent de prendre en considération les réalités.

La victimitude est ce fléau devant lequel les cercles de pouvoir, les réseaux et les clientèles se couchent afin de servir les intérêts qui sont si nuisibles à la France. Elle est devenue la norme comportementale et justificative de tous les élus afin de transférer sur l’impalpable tous les maux du monde auxquels normalement ils ont l’obligation et le devoir de répondre.

La victimitude est cette lâcheté médiatique si expressive derrière laquelle ses porteurs se dissimulent pour éviter que les citoyens décèlent le fait qu’ils sont vident si ce n’est que manipulateurs d’idéaux comme aux temps si obscurs de la démagogie triomphante, tout comme aujourd’hui.

La victimitude va devenir au même titre que le sarkhollandisme une norme de la manipulation médiatico-communicationnelle dans laquelle nous vivons et contre laquelle aucune mouvance n’agit. Elle est si présente qu’elle est la norme des politiques qui déjà annoncent qu’ils ne sont pas responsables des futures explosions des impôts pour ceux qui sont au bas de l’échelle des rémunérations.

La victimitude tend à devenir la référence du système en place pour lequel le gouvernement se dissimulera afin de se préserver tout en enfonçant un peu plus la France dans les abîmes et en affirmant que ce n’est pas de leurs fautes.

La victimitude est la solution prise par les acteurs du système éducatif pour justifier les errances, les incompétentes et les impostures de la didactique au mépris des compétences pédagogiques. Il est vrai que pour faire de la pédagogie il faut pratiquer ce qui dans l’intellectualisme de fond de cuvette n’existe pas : l’expérience, ceux qui mettent les mains dedans n’existent pas pour l’éducation.

La victimitude est bien là. Nous les citoyens nous allons encore subir les affres de cette perversion.

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 16:09

Le fond des abîmes est là : exister à tout prix. Pour y parvenir, l’imposture, s’appuie, est soutenue par les médias qui déploient un génie inventif innovateur pour que la candidate soit malgré la situation élue aux législatives.

La France est malade de la démagogie. L’ignorance inculquée par l’éducation nationale fait que la démagogie qui mena les Grecs aux tréfonds est devenue si criante que les médias, vecteurs de la médiatico-démagogie s’échinent à faire en sorte que leur copine se fasse élire, là, où elle ne devrait pas être, puisqu’il y a d’autres personnes du cru.

La France est vérolée par les clientèles, le clientélisme, les réseaux et les appartenances. La preuve par les faits est là, devant nos yeux nous avons des appareils politiques qui font la négation des citoyens, qui méprisent tout ce qui ne vient pas de leurs rangs et qui écrasent sans conscience l’émergence et la diversité.

La France est gangrénée par des idéologies pour lesquelles les français, citoyens, doivent laisser leurs places aux autres parce qu’ils sont de l’immigration. Les citoyens français doivent accepter que des personnes qui n’ont pas la nationalité française bénéficient de l’aide médicale alors que le citoyen qui travaille ne parvient pas à ce faire soigner les dents.

La France est syphilisée par des illusionnistes qui donnent tout à leurs clientèles et ne laisse que du vent aux citoyens. Ces porteurs de syphilis virulente sont légion, nous les trouvons dans les partis qui ont pour finalité de donner du rêve et rien d’autre aux français qui espèrent pouvoir travailler.

La France est violée par des prétendus intellectuels, qui par leur infaillibilité et leur suffisance le tout étayé par des méthodes des plus discutables ayant élevé la philosophie au rang de science, ont gommé la simple idée d’être français. Cette violence sexuelle qui bafoue toutes les valeurs de la République devient les normes de quelques appareils politiciens.

La France subie des abus sexuels en tous genres. Déversoir des rancœurs, des animosités et des lâchetés de tant de penseurs qui ne voient pas plus loin que l’intérêt de leur gamelle en ignorant le coût et les coups pour les citoyens, ceux qui font la France.

La France est rongée par l’imposture du rêve. Les illusionnistes donnent à Pierre et à Paul mais ignore que Suzanne et Amélie sont dans une misère noire simplement parce qu’elles n’appartiennent pas au cœur des idéaux électoralistes de l’immédiateté médiocratique.

La France est assaillie par le mérycisme pratiqué dans les prétendues grandes écoles, pour lesquelles le pavlonisme est une norme intellectuelle majeure, où le bachotage est la démonstration d’un élitisme à toute épreuve. La France n’est plus en mesure de supporter les errances des énarques et autres inquisiteurs qui ne servent que leurs carrières.

La France est ébranlée par le cursus honorum impératif pour exister en France. Parfois le système fait émerger un cas ou deux par génération pour légitimer l’action et justifier l’existence des réseaux, des arrangements et des clientèles.

La France n’a plus qu’une main hors des abîmes. Tout le reste s’enfonce parce que des illusionnistes préfèrent construire une imposture médiatique pour soutenir une candidate plutôt qu’avoir le courage de prendre en considération les citoyens.

La France avec son système éducatif où l’on ne se soucie pas de savoir si les élèves sont en mesure de restituer, mais où l’on exige que les élèves apprennent à la maison, de cette manière ses sont les parents qui font la classe, subie des abus sexuels de toutes parts, du fait des lâchetés des décideurs.

La France à un besoin immédiat que les responsables mettent un terme à ces errances, et que par exemple Peillon prenne son courage à deux mains et qu’il aille chercher des empêcheurs d’illusionner en rond… ça j’en doute, il va servir ses clientèles… tout comme son patron qui le pratique dans les actes à l’image des responsables de son parti… Inquiétudes... !

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