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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 11:13

La négation de l’humanité est aveuglante dans les propos de Guéant. Une telle ignorance sur ce qui constitue l’humanité, notre humanité qui fait que nous pouvons faire œuvre d’humanité est déplorable. Cela atteste de la considération que ces castes ont pour le peuple. Tout ce qui n’est pas de leurs cercles, de leurs réseaux et de leurs clientèles, n’existe pas.

On comprend mieux pourquoi Sarko n’a pas la décence, la dignité et l’humanité de répondre aux citoyens. On comprend mieux pourquoi les hauts et très hauts fonctionnaires sont si lamentables pour répondre aux exigences de gestions du territoire national. On comprend mieux pourquoi tout est fait par ces politiques pour enfoncer un peu plus le peuple au fond de la misère.

Il faut que tous leurs privilèges soient préservés et puissent être légués sans contraintes à leur descendance. C’est une négation de notre humanité et de l’humanité dans toutes ses diversités et ses différences sources de la richesse de ce qu’est l’humanité. Comment un représentant de l’Etat peut-il s’exprimer de cette manière ?

Il est vrai que le consensualisme des sociologues idéologues, démagogues et infaillibles est tout aussi déplorable et insultant pour notre humanité, mais entre les deux discours il y a de la place pour la dignité humaine. Nous avons l’exemple des errances de notre humanité : l’excès dans les deux sens. D’un côté Guéant s’efforce de faire des appels au FN et de l’autre des clientèles suffisantes, qui chaque jour démontrent leur incompétence, font leur possible pour faire croire aux français que les élites ont toujours raison.

La France est malade de son ignorance, de son refus de mettre un terme à ce qui ne fait que donner l’illusion de fonctionner et pire encore des clientèles qui tiennent par les testicules les politiques. Ainsi les déviances du genre de celles de Guéant peuvent s’exprimer alors que des travaux sur les violences scolaires, que les sociologues refusent de voir, puisqu’ils démontrent qu’ils se sont fourvoyés et vendus aux idéologies politiciennes afin de gravir les hiérarchies universitaires, ne peuvent pas être publiés. La France est malade de ces clientèles.

L’humanité est largement plus complexe que ce que les gandins nous le laissent entendre. Elle ne peut pas être mise en équation. L’humanité n’est pas une formule mathématique. L’humanité relève des sciences humaines aucune méthode ne peut rendre sa totalité. En revanche, chaque méthodologie qui permet de voir un facette de l’humanité doit avoir le droit de citer, ce que les sociologues et autres tenants des sciences dites humaines gavés aux maths ne peuvent pas concevoir.

Le grand écart est important mais les digressions de Guéant permettent de mettre en perspectives des dysfonctionnements sociétaux qui font la négation de l’humanité, en révélant les côtés les plus obscurs de la cupidité, de la suffisance et de l’infaillibilité, deviennent plus visibles et lisibles pour tout un chacun. Toutefois, la médiocratie, attribut d’un intellectualisme de réseaux, d’appartenances, de cursus et de clientèles, est si présente que nous demeurons aveugles aux réalités accessibles par une simple conscientisation de ce qui est là, juste devant nos yeux.

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 10:19

Une vague de froid, qui n’est que normalité, s’installe sur la France. Les progrès des prévisions météorologiques font que nous sommes informés de ces vagues de froid avec quelques jours d’avance. Malgré ces alertes nous avons des routes qui ne sont pas passées à la lame, nous avons des municipalités qui ne mettent pas les moyens pour limiter les glissades et nous avons des situations de blocages dues à quelques centimètres de neige et de glace.

Nous sommes en république bananière ! Tout y est ! Des fonctionnaires qui ne prennent pas de décision. Des responsables qui ne prennent pas de responsabilités. Des chefs de fond de cuvette qui ne font pas en sorte que dès que les précipitations neigeuses arrivent de mettre les lames sur la route. Des gandins qui chefs de service ne savent même pas conduire le camion et ignore que pour déneiger il faut des heures et des passages fréquents.

Des imposteurs affirment à grands renforts médiatiques que c’est la faute du temps et du climat. Comment est-il admissible que sur les autoroutes, espace privé où nous payons des tarifs de racket, la neige empêche de rouler ? Cela est intolérable ! Que font les politiques et Sarko en premier lieu : rien du tout, il laisse ces cupides se gaver sur le dos des citoyens.

Tous les ingrédients de la république bananière sont là : fuite devant les responsabilités, négation du territoire, absence de la culture du service, ignorance des réalités, ignorance des exigences du travail réel, dissimulation derrière des concours, suffisance, infaillibilité et incapacité à servir le peuple. J’en oublie certainement. Rien que ces aspects devraient nous mener à la une nouvelle révolution. Hélas, les alternatives sont vérolées par les boites à ignorance où l’on apprend à esquiver et non à tendre vers l’efficience du service aux citoyens.

Sarko parlait de racaille, au regard des incompétences, de l’ignorance et de l’incapacité éclatante à gérer un épisode neigeux, la racaille se trouve là où Sarko, Hollande et Bayrou refuse de regarder car celle-là ils font tout pour qu’elle soit préservée et poursuive en toute impunité ses nuisances et sa désagrégation de la France au seul bénéfice d’un système de clientèles.

Des exemples par milliers peuvent être pris pour imager ce triste constat d’une fonction publique aux abois : mercredi matin un hôpital avait l’accès aux urgences enneigé personne n’a fait en sorte que les pompiers puissent y accéder, les routes principales de nombreux villages et bourgs étaient impraticables, un incompétent a donner l’ordre à un conducteur d’engin de laisser son engin en cours de déneigement et de rentrer pour ne pas faire des heures supplémentaires sans se soucier de savoir si la route était praticable. Le service public est malade des incompétences et des politiques qui ne font que rendre service à leurs clientèles.

Nous sommes en république bananière, éducation, fonction publique et négation du territoire, et bien d’autres encore. Tout ça pour éviter que les titulaires de concours de normalisation pavlovienne ne soient mis devant leur incompétence à gérer ce pourquoi ils ont été recrutés, mais cela ne s’apprend pas dans les boites pavloviennes de la normalisation.

Le plus inquiétant c’est qu’aucun politique ne dit mot au sujet de ces situations intolérables d’une image lamentable de la France où les incompétences se dissimulent derrière les quelques trop rares compétents qui font leur travail et surtout qui font leur devoir. Devoir : mot qui n’est pas prononcé par Sarko, Hollande et Bayrou, normal puisqu’eux pour l’heure ne font rien pour que le territoire sorte de la négation dans laquelle les pavloviens l’ont mis.

Bientôt, tout à l’heure, à ce rythme, république bananière sera le synonyme de France.

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 20:02

La manipulation médiatico-communicationnelle est un art que des démagogues peu scrupuleux, pour ne pas dire des plus dangereux pour le devenir de la France emploient à toute occasion afin d’exister sur la scène médiatique et faire croire aux français qu’ils ont un projet, qu’ils maitrisent la situation et qu’ils sont les sauveurs.

Tout ceci n’est qu’illusion. Nous avons le Sarkholland qui est entrain de détruire le peu de crédibilité qu’il reste à la France. Nous avons une agence qui a enlever le triple A, mais deux autres l’on laissé. Il est vrai plus pour très longtemps car il faut payer le coût exorbitant des 35 heures de la CMU et des aides sociales accordées avec largesses aux étrangers sans que les français qui sont au smic puissent obtenir quelque aide que ce soit, car ils travaillent.

L’imposture devient si flagrante, l’inertie médiocratique des français si atterrante, et la soumission des médias si éclatante, que je me demande comment vont faire les citoyens pour voter en mai et choisir celui qui fait le moins d’impostures, celui qui propose les actes les plus cohérents, celui qui est dans la réalité et non dans le mensonge, l’incompétence et la surenchère médiatique au soleil de Martinique.

Les manipulations sont là. Elles nous mangent chaque jour un peu plus mais pendant ce temps les hauts salaires, les nantis et les clientèles poursuivent le gavage. Il est intolérable de voir les médias agir de la sorte. Il est intolérable d’admettre que des politiques ne fassent qu’œuvre de menteries pour se faire élire et fassent la négation totale des méfaits dont ils sont responsables.

Nous touchons le fond. Nous avons trop de personnes qui n’ont qu’une seule finalité : se gaver au détriment de la multitude. Et dans tout ça l’humanité, vous savez l’animal qui possède la faculté de conscientiser ses actions et doit, devrait, être en mesure de ne pas reproduire des erreurs. Hélas nous avons de la racaille qui se réfugie derrière des méthodes, des théories et des appartenances pour légitimer leur spoliation de la nation.

Il est temps que Sarko fasse son boulot. Qu’il réponde aux citoyens qui lui posent des questions. Qu’il expose ce qu’il veut entreprendre et qu’il démontre la pertinence. Pour ce qui est des autres c’est de la grande rigolade. Quand on voit un brasseur d’air qui n’a pas le courage ou la dimension présidentielle pour dire qu’il va se mettre au service total de la nation et de tous les citoyens. Cela signifie qu’il n’est là que pour sa gloriole : lamentable !

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 09:12

Nous touchons les tréfonds de la démagogie la plus perverse, la plus manipulatrice, la plus dégradante de l’ère du Sarkhollandisme. Nous sommes en pleine phase de surenchère d’annonces totalement irréalistes. Nous avons des imposteurs qui haranguent les foules en affirmant que lorsqu’ils seront président ils feront en sorte de rendre du pouvoir d’achat et de faire baisser la dette du pays.

Nous atteignons des sommets de fumisteries et d’impostures intellectuelles. Ils ont bien été formés dans les universités pavloviennes où l’on prétend qu’il faut partir du document pour faire son cours. L’incompétence et l’ignorance du monde des adolescents et du monde réel sont si éclatantes que nous sommes aveuglés par des paroles de tribuns de maternelle.

La France a les caisses vides. C’est vrai Sarko n’a rien entrepris pendant quatre ans pour réagir. Il est vrai aussi que les potes à François sont tellement lâches qu’ils se sont dressés contre toute tentative de résorption de cette dette car il ne fallait, il ne faut pas toucher au confort et aux acquis. Maintenant la France en a jusqu’au cou.

La démagogie politicienne est une insulte aux citoyens. En effet, comment peut-on prêter caution à un démagogue qui affirme qu’il va faire ceci ou cela alors que les 35 h ont coûté à la France plus de 450 milliards d’euros depuis bientôt dix ans ? Impensable ! Comment donner quelque crédit à Sarko qui ne fait rien pour préserver les travailleurs précaires mais soutient les chômeurs qui travaillent au noir ? Tout aussi impensable !

Nous avons deux esbroufeurs de classe intersidérale qui nous roulent dans la farine soutenus en cela par des états-majors de pavloviens brillantissimes mais médiocratiques car incapables de regarder la réalité. Ils sont tellement imbus de leur culture pavlovienne qui leur a inculqué la philosophie de la vérité qu’ils ignorent ce qu’est la réalité.

Aujourd’hui nous avons des prétendus intellectuels qui ont l’outrecuidance d’avoir la prétention de décrire la vérité alors que leur aveuglement idéologique ne leur permet pas de voir la réalité. La formation dans les universités n’est-elle pas fabuleuse ? Nous avons des pavloviens gavés de vérité qui arrangent la réalité pour en faire une vérité. Ensuite nous nous étonnons de voir des tracés de TGV totalement débiles dans la Var et la région PACA.

Tout est lié. Des démagogues, de imposteurs, des menteurs, des escrocs et surtout des personnes qui ne possède pas suffisamment d’humilité et de dignité pour avoir la décence de répondre aux citoyens qui posent des questions et mettent en évidence l’intolérable mainmise des réseaux, des appartenances et des clientèles sur tout ce que les institutionnels devraient faire avec équité.

Chaque jour nous avons une nouvelle démonstration par l’absurde de la perversité, de l’absence de considération et du mépris qu’ont les politiques pour les citoyens. Nous avons la démonstration que les clientèles préfèrent servir leurs idéaux même si cela nous met dans une situation catastrophique à courte échéance. Nous avons des institutionnels qui lèchent des culs et avalent toutes sortes de fluides simplement pour briller dans une société pavlovienne.

Il ne faut pas être hors de la normalité. Il faut appartenir : sinon la machine vous broie. Ou alors si vous êtes hors de cette normalité il faut que votre cas serve un démagogue ou un illusionniste qui fera en sorte de vous propulser pour se faire valoir. Voilà où nous en sommes. La démagogie politicienne dans toute sa splendeur de la négation des citoyens, de la négation de la différence et de la négation de la diversité.

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 10:40

La nuit du réveillon est devenue une vitrine de la bêtise, de l’ignorance et de la beaufferie devenue une norme comportementale dans une société où l’immédiateté, l’illusion et l’infaillibilité sont des références culturelles portées au pinacle.

Pour répondre, ou tout au moins, nous donner l’illusion de répondre à des débordements potentiels de niaiseries et de violences gratuites le ministre met en place des milliers de représentants de l’ordre pour parvenir à canaliser le culte de la transgression au détriment d’autrui. Ces débordements, ces négations d’autrui, ces mépris affichés pour notre société, sont dus à des acteurs sociétaux, prétendus intellectuels et autres imposteurs des comportements sociologiques qui ont soutenus les premiers incendies et les destructions ou autres explosions de violences.

Aujourd’hui la France devient le soir du réveillon une vitrine de la bêtise, de l’ignorance et de la suffisance d’individus gavés à la médiatisation ainsi qu’à la surenchère politicienne qui fonde sa communication sur ces excès comportementaux si nuisibles pour ceux qui vont subir à nouveau les assauts destructeurs d’une violence aveugle, gratuite et intolérable.

Il faut dire que les références culturelles, sociétales et comportementales de ceux qui se livrent à de telles déchéances de leur humanité sont en corrélation avec la bouffonnerie développée par des intellectuels imposteurs qui lustrent les sièges des universités, lorsqu’ils daignent y être présents et justifient sous une grandiloquence de fausseté toutes les errances et les digressions violentes qui émaillent les villes.

Il est effrayant de ne pas entendre ces prétendus intellectuels sur ces thèmes si brûlants. Il est atterrant de ne pas voir ces prétendus intellectuels soit disant si performants, si informés sur les réalités des dynamiques sociétales, si infaillibles dans leurs analyses totalement partiales et idéologiques, demeurer à leurs postes et être encensés par les politiques et les médias. Il est écœurant de voir ces prétendus intellectuels totalement dédouanés de responsabilités quant à leurs incompétences à lire la société qui vit devant leurs yeux aveuglés par leur idéologie et leur méthodologie.

La vitrine est bien garnie. Nous avons des individus qui ont un terrain de jeux, un territoire, pour exprimer toutes leurs pulsions, ils sont en position de diffuser leurs dynamiques territoriales sur des parcelles en nuisant sciemment au plus grand nombre, soutenu en cela par des imposteurs d’intellectuels de toutes mouvances dont le seul but est de préserver leur statut sans avoir à rendre des comptes pour leurs incompétences si éclatantes.

Incompétence, lâcheté, ignorance et infaillibilité ! Que vouloir de plus pour cet accélérateur à la violence sociétale qui s’insinue dans tous les pores de la société à cause des prétendus intellectuels et autres experts ou théoriciens qui ne vont pas plus loin que leurs idéaux et sont incapables d’ouvrir les yeux pour voir la réalité.

Tous les ingrédients sont là, prêts à être mis en sauce ! Pour tout arranger le ministre met quelque part de l’huile sur le feu, il tend vers la provocation, car des décérébrés vont pousser l’affrontement l’histoire de dire qu’ils ont mis le feu et que c’est eux qui détiennent le record : même pas peur ! Nous en sommes là car Sarko n’a pas le courage de mettre des coups de hache chez les prétendus intellectuels, il n’a pas le courage d’aller chercher des personnes qui n’appartiennent pas aux réseaux,  aux cursus et aux clientèles, il n’a pas le courage de regarder la réalité en face. Il préfère son prisme déformant plutôt que de prendre en considération les citoyens. La vitrine est bien achalandée…

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 15:18

Les médias, les politiques, les prétendus intellectuels, les universitaires et autres institutionnels pratiquent un art particulier : le négationnisme. Quelle horreur d’affirmer une chose pareille ! Est-il possible qu’en France le pays des droits de l’Homme le négationnisme soit instauré, défendu et répandu tel une référence culturelle ultime. C’est la triste réalité de la France ou tout au moins des personnes qui parviennent à s’exprimer dans les médias. Car en France comme dans les pays totalitaires nous avons l’obligation de penser, de parler et de développer comme l’univers pavlovien de la médiocratie ambiante l’a décidé, sous peine d’être traqué et éradiqué.

Dire que le négationnisme : action de nier des faits indubitables, vérifiables et encore vécus par une partie de la population française, est des plus dangereux. En affirmant que ces prétendues élites propagent le négationnisme nous les mettons au même rang que ceux qui font tout pour ignorer les camps de concentration, les massacres subis par un peuple sous l’égide d’une religion, ou encore l’organisation à la machette de la suppression d’une partie d’un peuple.

En France ce négationnisme s’exerce sur la pensée, sur la cognition, sur la réflexion ainsi que sur la faculté de mettre en évidence la réalité. Cette réalité, qu’aucune élite ne veut voir, qu’aucun prétendu intellectuel, ces fameux faussaires et autres imposteurs qui pratiquent le plagiat comme une normalité, devient si aveuglante qu’aujourd’hui il nous faut la rendre visible.

Le négationnisme en France s’exerce sur tous ceux qui mettent en évidence les dysfonctionnements, les incompétences, les illusions, les clientèles, les arrangements avec les faits, les mémoires sélectives, les explications vides de sens ou encore l’art du blablatage. Le négationnisme en France est une attitude développée et prise pour référence par un grand nombre de politiques qui n’ont qu’à observer Sarko ou François pour vérifier s’ils sont dans la mouvance.

Ce négationnisme si présent dans la politique française est exercé par Sarko qui n’a pas la décence, l’humilité, l’intégrité et la dignité de répondre aux citoyens qui lui posent des questions. Il balaye de son indifférence de sa suffisance et de son infaillibilité ce que les citoyens lui demandent. Il en est de même pour François et se coure de coquelets qui ne daignent prêter attention aux propositions que lorsqu’elles émanent de leurs réseaux voire de leurs boites pavlovionnes. Que dire des institutionnels et autres prétendus intellectuels qui font tout leur possible pour nous faire croire qu’ils pensent et qu’ils font avancer le machin ?

Rien de plus, ils ignorent, rejettent, enterrent tout ce qui ne va pas dans leur sens. Les universitaires font la même chose, pour parvenir à être publié il faut lécher des culs et appartenir surtout lorsque l’on met en exergue des errances, des manquements et des incompétences dissimulées sous une chape de suffisance et d’infaillibilité cimentée par la cupidité.

Le négationnisme est donc une pratique courante en France. Dès qu’une pensée dérange, dès qu’une théorie rend obsolètes les précédentes, dès qu’une personne démontre les menteries dans lesquelles le peuple est roulé, dès que l’on lève une partie de voile des incompétences : les institutionnels font disparaitre, après critique et destruction tout ce qui ne va pas dans leur direction, tout ce qui diffère à la norme normalisante.

Ce négationnisme devient un trait culturel majeur de la référence sociétale française. On se dissimule la face en mettant au fond d’un gouffre toute prise de conscience des conséquences des faits que nous ne voulons pas voir et contre lesquels nous ne voulons pas agir. Ainsi il n’y a pas de prière de rue, ainsi le racisme anti blancs ou anti français n’existe pas, ainsi les escroqueries aux aides publiques au détriment des citoyens ne sont pas si importantes. Ainsi tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Sarko fait la négation de ses obligations, de ses devoirs, envers les citoyens. François fait la négation de l’héritage catastrophique de l’aire mitterando-gaullienne du sang contaminé et des 35 heures. Et tous les autres acteurs si présents à la télé font la négation de ce qui peut démontrer qu’en réalité la seule chose qui compte : c’est leur compte en banque, leur égo et leur infaillibilité. Va-t-il y avoir une loi pour éradiquer ce négationnisme de la vie française ?

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 17:25

Evaluer la dangerosité est une vaste fumisterie dans les systèmes politiques, institutionnels et éducatifs actuels. Nous avons des illusionnistes qui depuis bientôt quarante ans font de la sociologie sur ces thèmes et plus ça va plus nous allons vers le fond du gouffre. Ces prétendus chercheurs qui appartiennent à des clientèles idéologiques d’universités qui refusent toute responsabilité dans la désagrégation de l’enseignement donné aux élèves sont trop imbus, trop lâches et trop infaillibles pour aller chercher ce qui permet d’évaluer, ou tout au moins de percevoir la dangerosité.

Il y a quatre ans Brun-Picard Yannick dans une étude sur les dangerosités a été mis au silence parce qu’il mettait en évidence par une démonstration systémique et structurale que la dangerosité avait besoin d’un support territorialisé pour se répandre. Trop dérangeant, les intellectuels et autres chercheurs en sciences humaines l’on broyé. Mais ils sont toujours incapables de lire les violences et de proposer des orientations pertinentes pour y répondre.

Aujourd’hui un meurtre barbare vient éveiller les consciences, le temps du flux médiatique. Il met en évidence des dysfonctionnements profonds. Un je m’en foutisme grandissant. La présence de technocrates diplômés mais trop dépendants à leur carrière pour prendre des décisions pour répondre aux problèmes. Ces problèmes qu’ils ne peuvent pas percevoir puisqu’ils sont enfermés dans leurs idéaux, leurs appartenances et leurs clientèles.

Nous avons des personnes qui sont en poste et qui refusent de prendre des décisions d’autorité pour mettre en coupe réglée les comportements violents. Pour y parvenir il faut vouloir voir le monde tel qu’il est et non tel que les idéologies de fond de cuvette parisienne veulent qu’il soit. Cela impose que  les bouffons aillent chercher ce qui va faire bouger les lignes et que l’on cesse le paluchage.

Il ne faut pas choquer, il ne faut contraindre, il ne faut pas imposer. Il faut se plier. Il faut la fermer. Il ne faut pas prendre de responsabilité sauf si ce sont les fusibles que l’on fait sauter. Voilà la première des raisons des violences qui se répandent la lâcheté de ceux qui ont le devoir de mettre en œuvre des options, des dynamiques, pertinentes et qui ne feront pas plaisir à ceux qui se gavent sur la dépouille de la société.

J’ignore si ces brillantissimes infaillibles sont conscients de la réalité dans laquelle la multitude se débat. J’ignore s’ils auront le courage de prendre des personnes qui n’appartiennent pas à tous les cercles de fumistes et d’escrocs qui pour l’heure ne sont que des producteurs d’échecs, de récidives et d’errances. J’ignore si Sarko va prendre conscience de l’impérieuse nécessité de mettre en place autre chose que des pavloviens propres sur eux qui ne pensent qu’à leur avancement.

En tout cas si les décisions ne sont pas prises, si Sarko ne fait pas en sorte d’aller chercher des cerveaux qui lui mettent le nez dedans, si la conscientisation ne parvient pas aux neurones : nous allons droit vers une situation encore pire. En effet, François reprendra les fumistes qui ont construit ces dysfonctionnements et qui ne sont pas responsables. Il sera trop lâche pour mettre un terme à la prétendue supériorité de ceux qui sortent de la cuisse de Jupiter, ENA, Sorbonne et autres boite pavloviennes qui chaque jour démontrent par l’absence de réponse leur obsolescence !

Nous avons deux options soit Sarko à du courage et ses conseillers les couilles pour aller chercher ce qui mettre des coups de batte chez les médiocrates et des réponses seront probablement efficaces. Soit François quand il va arriver là haut, fera en sorte que ses copains prennent les postes et là ce sera encore pire puisqu’ils n’ont jamais rien entrepris pour le peuple si ce n’est augmenter les privilèges de certaines classes : le leur en premier lieu ;

Pour s’approprier la dangerosité il faut vouloir voir ce que c’est. Il faut sortir de la normalité médiocratique et aller chercher ceux qui mettent en évidence nos miasmes. Il faut admettre que nos prétendus intellectuels et autres sociologues nous roulent dans la farine depuis des décennies sur ce thème et qu’ils ne font qu’entretenir un fond de commerce.

Mais pour cela il faut que les conseiller de Sarko fassent leur boulot et que l’info remonte, ou que ceux de François quittent leur infaillibilité et fassent de même. Non il faut appartenir pour être reconnu…

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5 novembre 2011 6 05 /11 /novembre /2011 14:32

La France, les valeurs sociétales françaises, tendent à s’effondrer chaque jour un plus, elles s’enfoncent dans les gouffres doctrinaires des bien-pensants et autres imposteurs en tout genre. La dernière en date est l’assaut nourrit de François et de sa clique d’esbroufeurs qui hurlent haut et fort que Sarko abuse de la télé et qu’il fait sa campagne électorale.

Il est présent sur les écrans, ça c’est vrai. Ce qui est vrai aussi c’est qu’il a toujours autant de mépris pour les citoyens qui attendent depuis plus d’une année des réponses à leurs questions. Ce qui est vrai aussi c’est que ses opposants politiques, bouffis d’orgueil, dégoulinants de suffisance et surtout suintants la suffisance agissent comme lui. En effet, ces défenseurs, ces exemples vivants et démonstratifs de l’obligation de la pensée unique : la leur, en ont rien à faire des citoyens qui posent des questions dérangeantes. Alors ils les ignorent, de cette manière pas de problème : ça n’existe pas.

La pensée unique qui nivelle toutes les dynamiques sociétales en France. Qui fait que ceux qui pensent différemment que la norme scienceposienne énarquienne sont chassés et éradiqués. Cette pensée unique gagne du terrain, gagne des esprits et s’installe comme référence cognitive. Là nous touchons le fond de la déchéance de notre humanité. Afin de préserver de bulletins de votes et son cul sur un fauteuil de député on est capable de tout faire, preuve en est : Ségo et ses démarches en Vendée.

La pensée unique, le mépris pour tout ce qui ne provient pas des institutionnels, le rejet de ce qui ne provient pas des cercles des clientèles parisiennes, sont devenus si éclatants que même un aveugle peut les voir et un sourd les entendre. Et oui nous en sommes là. La démagogie est devenue une norme sociétale qui fait en sorte qu’aucune tête ne dépasse et que pour parvenir à être reconnu il faut appartenir aux cercles de lécheurs de bottes du pouvoir.

Dans ces conditions les escrocs médiatiques, qui peuvent s’exprimer dans les médias même lorsqu’ils ne font que du vent, déversent à flots leur fiel sans limite renforcé par les médias qui alimentent la délation, la bêtise et l’ignorance des réalités dans lesquelles les citoyens se débattent. Nous avons de vides d’idées, des vides de valeurs, des vides d’intégrités, des vides de projets cohérents, des vides de paroles tenues, qui pavoisent devant les médias et qui s’évertuent à faire rêver les français.

Dans le cas où la pensée unique vienne à conquérir le pouvoir nous serons encore un peu plus dans la mouise. Car ces personnes s’arrangent avec les lois, les règlements, les obligations et l’intégrité afin de servir leurs seuls intérêts. La pensée unique si pratique dans les écoles qui forment les pavloviens est entrain de désagréger le tissu sociétal français par l’abus de sociologues de fond de cuvette qui ne font que répandre comme du lisier leurs idéaux.

Ce qui est révoltant c’est que ce travers des violences ostentatoires théorisé par Brun-Picard Yannick devient si visible, si éclatant, que nous les citoyens nous ne sommes plus capable de percevoir ce formatage à la pensée unique que quelques médiocrates instaurent comme référence ultime. Ainsi nous avons des gandins, propre en apparence sur eux, à l’âme si sale qu’un karcher haute pression ne suffirait pas à enlever la première couche, qui imposent la pensée unique. Rien n’a changé depuis ce qui mena les Français à la Révolution.

Nous avons toujours et encore de cercles d’influences, des clientèles et autres réseaux qui noyautent les pouvoirs en France, qui se servent sur la dépouille de la nation et qui se gavent à la sueur du peuple. Vive la pensée unique dont les portes étendards sont François, Martine, Ségo et quelques autres qui ont oublié, déjà, que pendant plus de six mois nous avons mangé matin, midi et soir de la primaire, et là ils ne posaient pas le problème de l’envahissement de l’espace médiatique par un acteur politique qui ne faisait que proposer de l’illusion, comme aujourd’hui.

Voilà ce qu’est la pensée unique : il n’y a que moi qui pense bien, les autres c’est du vent, moi je sais, moi je suis le sauveur… Mais, dans tout ça les bouffons si friands de pensée unique n’ont pas un projet, n’ont pas une base d’un début de démonstration de leur efficacité. Ils ne font que blablater sans proposer de solution alternative. Ils critiquent sans montrer que leurs options sont efficientes. En réalité ils sont tellement vides qu’ils sont condamnés à faire du vent et à gesticuler pour exister médiatiquement jusqu’à la présidentielle : démagogie lamentable !

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 08:09

Une réforme en profondeur de la fonction publique dans sa gestion des avancements et des carrières est impérative car aujourd’hui nous avons des minos qui arrivent directeurs de ceci ou de cela sans avoir une idée de ce que c’est que le travail et moins encore que ce que c’est qu’être responsable de fonctionnaires qui eux maitrisent le poste dans lequel ils se trouvent.

Sarko a parlé de courge, de devoir et d’obligations de prendre des décisions, de mettre en œuvre des réformes qui vont déplaire au plus grand nombre car il va falloir s’arracher la couenne. J’abonde largement dans le sens de ce constat, des ces impératifs et de cette prise de conscience sur l’état réelle de la nation française, sans gargarisme, sans illusions et ancré dans le concret.

Si l’Etat veut faire des économies il est impératif qu’il revoie en profondeur les avancements dans la fonction publique. En tout premier lieu disparition de l’ENA et de toutes les dites grandes écoles de la fonction publique. Seuls les instituts régionaux formeront les spécialistes en cours de carrière selon des spécialités. Cela impose que seul l’avancement interne des meilleurs et non comme cela ce passe en ce moment des copains et des clientèles devienne la norme de progression dans la fonction publique. Fini les avancements automatiques, fini la nomination de jeunes loups, fini les carrières trop rapides, fini des salaires mirobolants avant 30 ans si des brillantissimes veulent ces salaires ils iront dans le privé.

Pour ce qui est de la défense, des armées, fin immédiate de l’avancement automatique, nombre d’années minimum dans un grade de 6 ans, impossibilité d’être nommé au grade de colonel avant 45 ans, et à celui de général 50 ans. Nomination dans un grade que si un poste du grade est disponible. Seuls des colonels seront chef de corps. Création d’une entité d’officiers subalternes en charge du contrôle de la qualité, de l’équité et de la justesse des notations et des critères d’avancement, sans possibilité de nomination au grade supérieur dans les 6 ans. Pour les sous-officiers pas de nomination au grade supérieur avant au moins 5 ans de grade, avec sélection interne pour extraire les meilleurs afin d’alimenter les recrutements internes.

Pour la fonction publique, par exemple les hôpitaux. Seuls les agents en poste depuis cinq ans très bien évalués seront en mesure de postuler aux grades des adjoints des cadres et des cadres. Disparition immédiate des écoles de directeurs. Les cadres seront formés par les IRA de manière à créer des passerelles entre les fonctions publiques. Pas de directeur d’établissement avant l’âge de 40 ans pour les petits hôpitaux et 45 ans pour les hôpitaux universitaires. Attribution des grades en fonction des postes libres, des fonctions exercées et des responsabilités réelles des fonctionnaires.

Ce serait une révolution. Les syndicats ne seraient plus en mesure de faire avancer par magouille des illusionnistes et des incompétents. L’Etat ferait des économies colossales de salaires puisqu’il gagnerait au moins 20 ans de rémunérations sur des salaires importants. Bien entendu fin des avantages en nature sauf pour le directeur de l’établissement, et de manière restreinte. Il va de soit que l’éducation dite nationale, nommée : enseignement national, subirait les mêmes gestions.

Pour les enseignants : formation masterisée, rien de nouveau, mais pour devenir des spécialistes de l’enseignement et non de prétendus spécialistes généralistes de rien du tout. Disparition du recrutement agrégation pour toutes les matières. L’agrégation étant réservée aux seuls titulaires de doctorats pour enseigner en université. Les enseignants de maternelle des instituteurs avec la spécialité éducateurs enseignants maternelle, au primaire enseignant primaire, pour le secondaire même chose, pas besoin d’agrégé. Les économies, les non-dépenses seraient considérables. En plus les universités et centre de formation des futurs enseignants titulaires à la sortie d’un master d’enseignement qui maternelle, qui primaire, qui secondaire, seraient responsables de la qualité de la formation sachant que les enseignants recrutés le seront exclusivement dans leur académie et par les chefs d’établissement et une commission académique de sélection des impétrants.

Et oui finis les enfileurs de perles. Finies les carrières à la vitesse de la lumière. Fini l’eugénisme. Là monsieur le Président il faut avoir le courage, la pugnacité et la détermination pour faire en sorte que la fonction publique redevienne le miroir de la société et non une entité avec des privilégiés et des parias. Je doute que vous ayez le courage de chasser les imposteurs et que vous mettiez en place ces réformes impératives pour limiter drastiquement les dépenses de l’Etat.

Il va de soit que dans le même temps les députés et les sénateurs ne pourraient pas être élus avant 40 ans et ne pourraient pas faire plus de quatre mandats avec l’impossibilité d’être élus après 68 ans. Qu’aucune personne ne pourrait être nommée ministre ou secrétaire d’Etat avant l’âge de 40 ans et qu’aucune personne ne pourrait être nommée ministre après 68 ans. Avec bien entendu interdiction de cumul de mandats. Là les fonds de la nation seraient gérés et épurés, je doute fermement que vous ayez le courage de vous lancer dans une telle réforme en profondeur.

En effet les scienceposiens énarquiens ne pourraient plus verrouiller les postes de la fonction publique. Seuls ceux qui maitrisent leur univers de travail seraient en mesure de gravir les échelons avec la sélection exclusive des meilleurs et non des clientèles et de cuissage. A partir de l’instant où vous parlez de dignité, de courage et de devoir il faut agir dans ce sens.

Lecteurs, comme vous l’avez remarqué je suis parti du constat des paroles du président pour en arriver à une invective. En m’adressant par l’intermédiaire de ces lignes j’insiste sur le fait qu’il y a loin de la parole à l’acte.

La promesse dans ces conditions est constituée : de sueur, d’abnégation et d’engagement !

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 13:35

Lille est la ville où la prostitution dite de luxe agrémente les médias, les fouineurs et les délateurs en tous genres. Les prostituées dites de luxe ne sont pas devenues des performeuses de premier ordre au premier coup tiré. Elles ont maturé, elles sont entrées dans une structure pour parvenir à se faire connaître, elles ont fréquenté les personnes à même de les propulser au rang de prostituées dites de luxe et cela en toute impunité. Les clients rencontrés, leur capacité à satisfaire les pulsions sexuelles et les réseaux auxquelles elles se sont liées leurs ont permis de pouvoir pratiquer avec quelques retour sur investissement dans des hôtels cotés.

Ainsi nous avons multiples niveaux de prostituées du cimetière des éléphants avec une moyenne d’âge supérieure à 60 ans, ça c’est vu dans certaines grandes villes : Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux ou même Grenoble ; jusqu’au tapinage de luxe par internet en passant par la voiture, la camionnette, la caravane, le bas-côté, le trottoir et son appartement ou sa chambre d’hôtel aux odeurs acides.

Cela signifie que nous avons des types de prostitutions. Soit la « gagneuse » est autonome, libre de sa pratique, de ses choix et de ses lieux de pratiques. Soit elle appartient à un réseau d’esclavagisme sexuel pour lequel sa survie ne tient qu’aux nombres de passes effectuées à l’heure. Ou alors elle se trouve dans cet immense espace où nous trouvons des occasionnelles, des nymphomanes qui assouvissent leurs pulsions sexuelles, des nécessiteuses pour financer on ne sait quoi, ou celles qui sont fermement incitées par la coercition et des formes de violences psychologiques.

Les prostitutions et les prostituées ne peuvent pas être abordées de la même manière. Les contraintes de lectures, d’approches ou de perception de l’acte de prostitution qui est : la mise à disposition d’un corps pour des activités à caractère sexuel contre une rémunération de quelque forme qu’elle puisse être ; à besoin d’être analysé en profondeur. Des approches, des analyses et des dynamiques des territorialisations par la prostitution ont été faite par Brun-Picard Yannick. Ces constations trop évidentes, les mécanismes d’implantation trop éclatants et les démonstrations trop dérangeantes pour les acteurs publics et pour les sociologues ont été étrillées car elles démontraient l’absence de volonté réelle de lutter contre le fléau.

Il est vrai que la réponse à la prostitution afin d’éradiquer les macros et autres souteneurs qui vendent les femmes et des hommes comme de la viande pour être des réceptacles à fluide corporel n’est pas simple. Les intérêts de ceux qui trempent dans les magouilles à Lille, ou dans d’autres grandes villes, ne pourraient plus se pratiquer puisque l’Etat deviendrait le gestionnaires surveillant et taxateur des prostituées qui auraient l’obligation d’être déclarées. De plus la volonté de réponse ferait que les réseaux d’esclavagisme sexuel des pays de l’Est ou d’Afrique se trouveraient à sec puisque les fonds au lieu d’aller aux réseaux des exploiteurs iraient à l’Etat.

Une société dite moderne à l’obligation d’agir, de s’engager avec volonté et détermination pour lutter contre l’exploitation sexuelle que subissent la quasi-totalité des prostituées femmes et hommes. Avoir le courage de réglementer cette vente de service sexuel ferait rentrer des fonds considérables dans les caisses de l’Etat et mettrait à terre les réseaux de prostitution des cités ainsi que des quartiers huppés en faisant disparaitre ces cadeaux pour messieurs politiques que l’ont veut tenir par la queue.

Hélas, pour parvenir à un tel engagement il est impératif que les prétendus intellectuels sorte de leur inertie pavlovienne et aillent chercher des « chercheurs » qui eux ont trouvé, à l’image de Brun-Picard Yannick, afin de démentir de Gaulle, pour que de nouvelles perspectives de vie puissent émerger pour toutes les prostituées qui subissent les affres de la prostitution, des formes de prostitutions.

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